Art et sports mécaniques - Illustration et photographie

Category: Aquarelle (Page 16 of 20)

L’aquarelle est un medium artistique qui utilise de l’eau et de la peinture pour créer des œuvres d’art. Bien que la peinture à l’huile soit souvent associée aux portraits et aux paysages, l’aquarelle peut également être utilisée pour représenter des voitures et d’autres objets mécaniques avec un effet translucide et léger.

L’aquarelle est souvent utilisée pour créer des illustrations de voitures, notamment pour les publicités automobiles, les manuels de réparation et les livres d’histoire automobile. Les artistes peuvent utiliser des techniques d’aquarelle pour représenter la brillance de la peinture de voiture, les reflets du chrome et les ombres des formes de la voiture. L’aquarelle est également utilisée pour représenter des voitures de course en mouvement, avec des éclaboussures d’eau et de boue pour accentuer l’effet de vitesse.

Les artistes automobiles célèbres qui ont utilisé l’aquarelle pour représenter des voitures incluent Peter Helck, Bill Neale, et Ken Dallison. Les œuvres de ces artistes peuvent être trouvées dans des galeries d’art, des musées automobiles et des collections privées.

L’aquarelle peut également être utilisée pour créer des portraits de voitures personnalisées. Les propriétaires de voitures peuvent commander des portraits aquarelles de leurs voitures préférées, qui peuvent être encadrés et affichés dans leur maison ou leur bureau. Les portraits aquarelles de voitures personnalisées peuvent également être offerts en cadeau aux amateurs de voitures et aux passionnés de sports automobiles.

Velocette Venom Thruxton 500 1965

Aquarelle et lavis encre de Chine 55 x 55 cm
Simulation agrandissement 80 x 80 cm encadré

VELOCETTE VENOM THRUXTON 500 1965

Parmi la pléthore de constructeurs britanniques du siècle dernier, Velocette est surement l’une des marques les plus paradoxales. Cette marque est créée au début du 20ème siècle à Birmingham par John Goodman, jeune émigré allemand. Tout d’abord vendues sous la marque Veloce, les productions de Goodman adopte rapidement le nom de Velocette suite au succés d’un petit modèle 2T de 200cc.

John Goodman a, dès l’origine, pour objectif de commercialiser de solides motos de tourisme et un une conception très traditionaliste mécaniquement parlant. Et pourtant, Velocette est l’une des marques anglaises dont l’histoire est étroitement liée à la compétition et au Tourist Trophy en particulier, où ses motos brillèrent souvent et durant de nombreuses années.L’ASPECT TECHNIQUEGALERIE

La Velocette Série M Venom Thruxton fut la dernière moto de la marque. Présentée en 1964 au Motor Cycle Show d’Earls Court et commercialisé dès 1965, le Thruxton bénéficie des dernières évolutions moteurs (nouvelles pipes d’admission et culasse haute performance à effet squish inspirée d’un modèle conçu par un préparateur Velocette aux Etats Unis) et développe plus de 40 chevaux. Si la puissance paraît modeste aujourd’hui pour une moto sportive, le monocylindre de 499cc longue course gavé par son énorme carburateur Amal (of course) est loin d’être ridicule pour l’époque (une Triumph Bonneville bicylindre de 650cc développait 46 chevaux et une BSA Rocket Star bicylindre 500cc de 1962 ne proposait que 30 poneys). Le moteur est coupleux et reprend très bien dès 2500 tours/min., même sur le 4ème et dernier rapport. La boite est par ailleurs, douce et précise (toujours selon les standards de l’époque).

Comme toutes les Série M depuis 1953, la Thruxton est équipée d’une suspension arrière oscillante réglable en dureté par déplacement de l’attache supérieure du (double) combiné ressort-amortisseur. Elle n’apporte pas d’évolution particulier dans ce domaine. Par contre elle bénéficie d’une fourche moderne reprise au récent scrambler de la marque. Les freins sont puissants (double came à l’avant). La tenue de route est honnête et la moto est agile en courbe gràce à ses pneux de petites dimensions. C’est d’ailleurs son terrain de jeux favori ; son moteur étant, selon les connaisseurs, un véritable régal gràce à ses reprises vigoureuses dans les sorties de courbes.

Esthétiquement, elle se différencie beaucoup de la Venom standard. Tout d’abord l’ensemble selle/réservoir est spécifique. Le changement de réservoir était impératif du fait de la taille du carburateur qui imposait un découpage spécifique. La selle est, elle, mieux intégrée à la ligne de la moto en épousant beaucoup mieux la forme du cadre. De plus, elle forme un petit dosseret dans sa partie arrière qui lui donne une esthétique bien plus sportive que la selle plate du modèle dont elle est issue. La Thruxton conserve l’echappement typique de la marque en queue de poisson (s’en passer aurait été un véritable crime de lèse-majestée).

Cette machine était vendue 369 Livres à sa sortie. La Thruxton fut produite à 1108 exemplaires jusqu’en 1971, année où la société est mise en liquidation judiciaire. 166 exemplaires furent commercialisés en France durant ces 6 années de production. Difficile aujourd’hui d’en trouver dans un état d’origine.

Source https://www.motoplanete.com/Velocette/7472/Venom-Thruxton-500-1965/contact.html

Ferrari 335 s in the pit

Aquarelle et lavis encre de Chine 55 x 55 cm
Agrandissement 80 x 80 cm et encadrement

FERRARI 335 S 

Héritière directe de la 315 S, la 335 S a fait ses premiers pas lors de la tristement célèbre Mille Miglia en 1957 avec Alfonso De Portago, qui a remplacé à la dernière minute Luigi Musso, souffrant. La voiture était en troisième position lorsqu’un accident tragique s’est produit à proximité de Guidizzolo, provoquant la mort de De Portago, de son copilote Edmond Nelson et de 14 spectateurs. Les nombreuses protestations qui ont fait suite à ce drame ont mis fin aux courses de vitesse sur route en Italie. La 335 S a également participé au 24 Heures du Mans, où elle a signé le meilleur temps au tour avec une vitesse moyenne supérieure à 190 km/h. Elle s’est par ailleurs emparée de deux premières places aux 1 000 km du Venezuela, contribuant à la victoire de Ferrari au Championnat du monde des constructeurs.

Source Ferrari.com

Mercedes W154 Rekordwagen

Aquarelle 55 x 65 cm
Reproduction encadrée

 En 1938, le règlement des grands prix évolue et limite la cylindrée des moteurs suralimentés à 3.000cm3, ce qui condamne la carrière de la W125 et son moteur de 5.700cm3. Par conséquent, pour la saison 1938, Mercedes développe une nouvelle voiture, la W154 dont le moteur est un V12 suralimenté d’une cylindrée de 2.962cm3, sa puissance varie entre 425 et 474Ch. Avec cette voiture, Mercedes dispose d’une nouvelle base pour aller battre de nouveaux records dans la catégorie D, à savoir les voitures à moteur dont la cylindrée se situe entre deux et trois litres.

             Sur la base d’un châssis W154 de Grand Prix, Mercedes réalise deux versions de voitures de records, une pour les records de vitesse pure totalement carrossée, et une seconde dédiée pour le sprint avec des roues carénées. Entre ces deux versions, seule la carrosserie de la voiture change, celle-ci est réalisée avec un alliage d’aluminium pour rendre la voiture la plus légère possible, et n’est pas recouverte de peinture pour gagner quelques kilo supplémentaires, seule le logo de la marque apparaît sur l’avant de la voiture pour l’identifier.

          Pour le volet mécanique, la W154 Rekordwagen embarque donc le V12 dans une version développant 468Ch. Toujours pour gagner du poids, les ingénieurs de Mercedes décident d’enlever le radiateur de la voiture en raison des courts sprints qu’effectuera la voiture, en lieu et place, un réservoir de glace est installé sur l’essieu arrière dans lequel transite le liquide de refroidissement. Au final, grâce à ses efforts, la W154 Rekordwagen n’affiche qu’un poids de 942kg sur la balance.

               Le 8 février 1939, le pilote Caracciola effectue plusieurs essais avec la voiture sur un tronçon d’autoroute à proximité de a ville de Dessau et établi deux nouveaux records de catégorie : le kilomètre effectué en 20,56 secondes (soit 175,097km/h de moyenne) et le Mile en 28,32 secondes (soit 204,578km/h).  Le 14 février suivant, Carraciola réalise de nouveaux essais et pousse un peu plus loin le record du kilomètre, parcouru en 20,29 secondes, soit une moyenne de 177, 427km/h. Ce record fut le dernier réalisés par les voitures allemandes avant la seconde guerre mondiale, si la Mercedes T80 devait s’essayer au record absolu du vitesse terrestre début 1940, son moteur fut remployé dans un avion de combat avant…

Ferrari D50 championne du monde en 1956

Aquarelle 55 x 65 cm
Agrandissement et encadrement 80 x 80 cm

La Ferrari D50, née Lancia D50 puis devenue Ferrari D50/801 est une monoplace de Formule 1 conçue par l’ingénieur italien Vittorio Jano en 1953-1954 pour le compte de la Scuderia Lancia qui l’a engagée en championnat du monde de Formule 1 en 1954 et 1955. À la fin de la saison 1955, Italcementi rachète Lancia en faillite, ferme son atelier de course et offre à la Scuderia Ferrari ses châssis D50 qui seront engagés en championnat du monde en 1956 sous la dénomination Ferrari D50 puis en 1957 sous le nom de Ferrari 801.

Les différentes versions du modèle D50 ont pris le départ de 18 Grands Prix comptant pour le championnat du monde (4 sous le nom de Lancia en 1954-1955 puis 14 en 1956-1957 sous le nom de Ferrari). Ces monoplaces ont permis à ses divers pilotes de remporter 5 victoires, 19 podiums (dont 1 sous le nom de Lancia), 8 pole positions (dont 2 sous le nom de Lancia) et 6 meilleurs tours en course (dont 1 sous le nom de Lancia) en championnat du monde. Juan Manuel Fangio a conquis un titre de champion du monde à son volant en 1956.

Source Wikipedia

Mini Cooper changement de plaquettes de freins 1966 Monte-Carlo

Aquarelle 55 x 65 cm
Agrandissement 80 x 55 cm encadré


Entre 1960 et 1972, la Mini a remporté 32 rallyes à travers le monde, dont trois victoires à Monte-Carlo. Cette petite voiture économique, lancée par la British Motor Corporation (BMC) en 1959, est devenue célèbre pour sa capacité à persévérer dans les conditions les plus difficiles, battant la concurrence souvent des voitures plus grandes et plus puissantes.

BMC avait créé un «Département de la concurrence» dans son usine d’Abingdon, dirigée par Stuart Turner. Leur objectif était de développer une gamme de Minis pouvant participer à des rallyes et autres événements de sport automobile, rehaussant le profil de la voiture pour générer des ventes. La stratégie a parfaitement fonctionné. Turner a réuni une solide équipe de pilotes (Timo Makinen, Rauno Aaltonen, Paddy Hopkirk et Tony Fall) et de techniciens.

Turner a compris que pour réussir sur le circuit de rallye, leurs Mini voitures de rallye devaient être incroyablement fiables. L’attention portée aux détails lors de la préparation de la voiture pour un rallye a été méticuleuse, vérifiant chaque écrou, boulon, sabot de frein et ampoule. Au besoin, des modifications seraient apportées pour fournir une protection ou une résistance supplémentaire, comme la solide protection inférieure ajoutée pour les pistes de montagne du RAC Rally au Pays de Galles en 1966. Chaque voiture de rallye a été préparée à partir de zéro par un mécanicien. Il l’a emporté au rallye, l’a remis au conducteur et a effectué ces importants ajustements de dernière minute.

Ils ont également adapté chaque voiture pour le conducteur, changeant même l’emplacement de l’allume-cigare pour le Makinen qui fume beaucoup. Ce succès a été bâti sur la préparation, une conduite brillante, des tactiques parfaites et un fort esprit d’équipe.

Succès du rallye pour la Mini Cooper

Le premier succès du rallye Mini Cooper a eu lieu en 1960 au Cork 20 Rally lorsque Sheila O’Clery a remporté la victoire au volant d’une Austin 7 Mini. Il faudra attendre deux ans avant que leur prochain succès avec Paddy Hopkirk ne remporte le Circuit of Ireland Rally un an après son succès dans une Sunbeam Rapier. Une Mini avec Hopkirk aux commandes remporterait le Circuit of Ireland Rally en 1965 et 1967, avec deux autres victoires en Mini Cooper en 1964 et 1966.

En 1962, l’équipe du Mini rallye a remporté quatre victoires au total, mais il faudra encore deux ans avant de goûter à nouveau au succès. En 1964, l’équipe Mini remporte pour la première fois le rallye de Monte-Carlo avec Hopkirk au volant. C’était la première des quatre victoires de l’année et le début d’une longue période de succès en rallye.

Huit rallyes seront remportés en 1965, dont sept en 1966 et 1967. Au cours de ces trois années, la Mini Cooper régnera deux fois à Monte-Carlo (65 et 67), 100 Rallyes des Lacs en Finlande trois fois, le Circuit d’Irlande trois fois, Rallye de Pologne deux fois (’65 et ’66). La seule victoire de l’équipe à domicile est survenue lors du RAC Rallye 1965 avec Rauno Aaltonen aux commandes. Leur victoire finale viendrait au Rallye de Nouvelle-Zélande de 1972, mais à ce moment-là, la domination de la Mini Cooper en rallye était terminée.

Le succès des instruments SMITHS

Comme dans la ligne de production des voitures Mini, les jauges fabriquées et conçues par SMITHS Instruments figurent dans les tableaux de bord des voitures de rallye. La disposition des instruments a peu changé, le compteur de vitesse étant monté en position centrale classique.

Source https://www.smiths-instruments.co.uk/blog/mini-cooper-rally-success

Quatre pilotes et leurs Mercedes W154

Lavis encre de Chine format 45 x 45 cm
Encadrement 45 x 45cm d’une reproduction avec tirage qualité exposition sur papier chiffon
Mise en scène d’un tirage 80 x 80 cm

La Mercedes-Benz W154 était une voiture de course de Grand Prix conçue par Rudolf Uhlenhaut. Le W154 a participé aux saisons de Grand Prix 1938 et 1939 et a été utilisé par Rudolf Caracciola pour remporter le Championnat d’Europe de 1938.

Le W154 a été créé à la suite d’un changement de règle par l’instance dirigeante sportive AIACR, qui a limité les capacités du moteur suralimenté à 3000 cm3. La voiture précédente de Mercedes, la 5700 cm3 W125 suralimentée , n’était donc pas éligible. La société a décidé qu’une nouvelle voiture basée sur le châssis de la W125 et conçue pour se conformer aux nouvelles réglementations serait préférable à la modification de la voiture existante.

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