Illustration mixte dessin/palette graphique 80 x 98 cm
Philippe Lepape
Renseignements
“À partir de photos d’archive, auteur inconnu. Mise en couleur et transformation artistique par Philippe Lepape »
NB : Les images dont je m’inspire sont anciennes et je ne dispose pas des noms des ayants droits je retirerai mes images de mon site sur simple demande.
Pour tout renseignement me contacter au 06 78 16 68 53 (33 6 78 16 68 53) ou la rubrique “contact“
Illustration mixte dessin/palette graphique 80 x 120 cm
Philippe Lepape
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Graham Hill et la pendule : Portrait d’un pilote, regard d’un peintre
Dans l’univers mécanique et rugueux du sport automobile, rares sont les figures qui ont su allier avec autant de grâce la vitesse, la discipline et une forme d’élégance racée. Graham Hill est de ceux-là. Champion du monde de Formule 1, vainqueur des 500 Miles d’Indianapolis et des 24 Heures du Mans, il est à ce jour le seul homme à avoir remporté la mythique Triple Couronne. Mais plus que les chiffres, c’est le style Hill qui traverse les époques : une moustache soignée, un flegme britannique, un humour raffiné et un sens du tempo qui frôle l’horlogerie.
C’est précisément ce rapport au temps et à la précision que j’ai voulu explorer dans mon tableau : « Graham Hill et la pendule », une scène silencieuse, suspendue, qui dit bien plus qu’un portrait classique.
Une figure du contrôle
Né en 1929 à Hampstead, Graham Hill n’a pas suivi le parcours classique des prodiges du volant. Il découvre tard la course automobile, vers 25 ans, après une formation d’ingénieur naval. Sans piston ni fortune, il commence comme mécanicien chez Lotus. Sa détermination, son intelligence mécanique et sa conduite fluide l’amènent à gravir les échelons. En 1962, il remporte son premier titre mondial avec BRM. Le second viendra en 1968, chez Lotus, après la mort de son coéquipier et ami Jim Clark.
Hill devient un pilier du paddock, un capitaine d’équipe respecté, et surtout un stratège du volant. Là où d’autres forçaient la machine, lui dansait avec le chrono. On le surnomme “Mr Monaco” pour ses cinq victoires sur le tracé princier — un circuit qui récompense les pilotes de précision plus que de panache.
L’instant suspendu : naissance du tableau
C’est en découvrant une photo ancienne prise à Goodwood que l’idée du tableau a germé. On y voit Hill assis dans sa monoplace, seul, face à une grande pendule murale, avec le public. Un moment de calme au milieu du chaos de la course. Ce n’est pas la vitesse qui est représentée, mais le temps avant : celui de la concentration, du silence intérieur, du contrôle absolu.
Mon tableau ne cherche pas à figer Hill dans l’action, mais plutôt à capturer ce qu’aucune caméra ne peut vraiment montrer : la tension contenue d’un homme qui s’apprête à affronter la piste, regard fixé non sur un adversaire, mais sur le temps lui-même.
La composition est volontairement épurée. Le fond est légèrement flouté, presque onirique. La pendule, elle, est nette, presque clinique. Le blanc de la combinaison de Hill tranche avec les ombres, comme pour rappeler que tout ici est question de contraste : entre calme et violence, entre mesure et explosion, entre préparation et libération.
L’horloge comme adversaire
Dans ce tableau, Hill n’a pas l’air anxieux. Il ne guette pas l’heure avec crainte, mais avec maîtrise. Il sait ce qu’il doit faire. La pendule ne l’intimide pas : elle est son partenaire silencieux, son repère. Le regard que je lui ai donné est celui d’un homme en pleine maîtrise de son tempo, un homme qui sait que le vrai duel ne se joue pas contre les autres voitures, mais contre le temps qui s’écoule, contre l’imprécision, contre l’erreur.
C’est cela que j’ai voulu transmettre. Hill n’est pas là pour gagner avec rage, mais pour dominer le temps avec méthode. C’est une danse précise, un métronome humain dans une machine instable.
Graham Hill : pilote, mais aussi figure humaine
Peindre Graham Hill, c’est aussi peindre une époque, celle où les pilotes couraient avec le danger à chaque virage, sans télémétrie, sans filet. C’est évoquer l’aristocratie du courage, l’élégance du geste, l’art de la gestion de soi. Hill, c’est aussi le rire discret après une victoire, le mot d’esprit au micro, le père affectueux de Damon, qui lui succèdera au sommet.
Son accident d’avion en 1975, qui coûta la vie à l’homme et à une partie de son équipe, a été ressenti comme une fin brutale d’une ère romantique du sport automobile. Pourtant, son image perdure, justement parce qu’elle évoque quelque chose de plus large : la recherche de la perfection, le rapport au temps, l’élégance dans l’effort.
Une pendule, un homme, une philosophie
Le tableau « Graham Hill et la pendule » ne se veut pas héroïque. Il ne montre pas le drapeau à damier, ni la victoire. Il montre ce qu’il y a avant : ce moment de solitude, de dialogue intérieur, où l’homme devient plus qu’un pilote. Il devient un maître du temps, un artisan de la précision, un horloger de sa propre légende.
À Goodwood ou ailleurs, cette image est universelle. Elle parle à ceux qui connaissent la course, mais aussi à ceux qui comprennent ce que c’est que d’attendre le bon moment, de mesurer chaque geste, de vivre avec un sens aigu du timing.
En cela, Graham Hill, à mes yeux, n’était pas seulement un pilote. Il était un homme d’horlogerie humaine, qui savait que la clé n’était pas d’aller vite, mais de savoir quand accélérer, et pourquoi.
Illustration digital art 71 x 106 cm, Graham Hill et Lotus – art print tableau.
Philippe Lepape
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Morris Austin Mini Cooper au contrôle rallye montagne
Illustration mixte dessin/palette graphique 80 x 120 cm
Philippe Lepape
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Morris Austin Mini Cooper au contrôle rallye montagne
Illustration mixte dessin/palette graphique 80 x 120 cm
Philippe Lepape
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Illustration mixte dessin/palette graphique 80 x 120 cm
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Illustration mixte dessin/palette graphique 97 x 97 cm
Philippe Lepape
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La Jaguar XK est une série de modèles sportifs produits entre 1948 et 1961. Elle commence avec la XK120, puis la XK140 (1954), et enfin la XK150 (1957). Ces voitures incarnent le renouveau de l’automobile britannique d’après-guerre, mêlant performance, élégance et prix relativement abordable.
La Jaguar Type E, elle, arrive en 1961, en remplacement naturel des XK. Elle marque une rupture stylistique et technologique. Lors de sa présentation au Salon de Genève, Enzo Ferrari lui-même la qualifie de « la plus belle voiture jamais produite ». Mais au-delà de son look, la Type E est une vraie révolution en termes de performances.
Performances comparées
Jaguar XK120 / XK140 / XK150
Moteur : 6 cylindres en ligne 3.4 ou 3.8 litres
Puissance : de 160 à 265 ch pour les versions les plus poussées (XK150 S)
0 à 100 km/h : environ 8 à 10 secondes
Vitesse maximale : jusqu’à 215 km/h pour une XK150 S 3.8
Jaguar Type E (Série 1, 1961–1968)
Moteur : 6 cylindres en ligne 3.8 puis 4.2 litres (puis V12 dans les Séries 3)
Puissance : entre 265 et 280 ch
0 à 100 km/h : autour de 7 secondes
Vitesse maximale : 240 à 250 km/h
Rien qu’en regardant les chiffres, la Type E est plus rapide, plus nerveuse, mieux freinée et plus moderne. Mais ce n’est pas qu’une affaire de chiffres…
Technologie : là où la Type E prend l’avantage
La XK a été conçue dans les années 40. Elle repose sur un châssis séparé avec suspension avant indépendante, mais un pont arrière rigide. Le freinage est d’abord à tambours (freins à disque à partir des dernières XK150), et la boîte est à 4 vitesses sans synchronisation complète sur les premières versions.
La Type E, elle, adopte un châssis monocoque avec faux-châssis avant, ce qui améliore la rigidité et réduit le poids. Elle bénéficie également de :
Suspensions arrière indépendantes, un bond en avant énorme en tenue de route
Freins à disque aux quatre roues dès l’origine
Boîte synchronisée
Une aérodynamique bien plus travaillée, avec un Cx très favorable (vers 0.35)
Un train avant dérivé des voitures de course Type D
Tout cela rend la Type E bien plus performante sur piste, avec une tenue de route précise, une meilleure stabilité en courbe, et un freinage bien supérieur. En virage, une XK est plus “ancienne école” : roulis, sous-virage, et comportement parfois piégeux à haute vitesse.
Style et philosophie
La XK est une voiture romantique, puissante et fluide, conçue pour les gentlemen drivers des années 50. Elle est plus rustique, plus typée “Grand Tourisme” que pure sportive. On peut la conduire sur de longues distances dans un certain confort, mais elle reste typique de l’après-guerre.
La Type E, au contraire, est une voiture de sport moderne, née dans une époque de rupture, influencée par la compétition. Elle est plus basse, plus large, plus agressive. Sa carrosserie, inspirée des Type D victorieuses au Mans, a été dessinée avec des outils aérodynamiques utilisés en aviation.
Et sur circuit ?
Sur un circuit classique, même ancien (Goodwood, Le Mans, etc.), la Type E dominerait la XK grâce à :
Sa tenue de route supérieure
Son freinage plus endurant
Son accélération plus franche
Sa meilleure vitesse de passage en courbe
Même une XK150 S 3.8, qui est la plus affûtée des XK, aurait du mal à suivre une Type E bien réglée. Elle pourrait se défendre en ligne droite, mais perdrait du temps au freinage et dans les virages.
Et pourtant… la XK a ses qualités
Cela dit, la XK reste une voiture exceptionnelle pour son époque. Elle a battu des records de vitesse (la XK120 fut la voiture de série la plus rapide du monde en 1949), a gagné des courses prestigieuses (Mille Miglia, Rallye de Monte Carlo, Le Mans en version C-Type dérivée), et a posé les bases du renouveau de Jaguar.
Elle est aussi plus rare, surtout dans ses premières versions, et bénéficie d’un charme vintage inégalé, notamment en version roadster.
Héritage : deux légendes, un seul ADN
La Jaguar XK a lancé la dynastie des moteurs XK six cylindres, utilisés jusque dans les années 80. Elle a établi Jaguar comme constructeur sportif. La Type E, elle, est devenue une icône culturelle : prisée des stars, des designers et des passionnés, elle représente le “swinging sixties” à l’état pur.
Les deux voitures partagent un ADN commun : luxe abordable, performance, élégance. Mais la Type E est l’héritière qui dépasse sa mère, grâce à une conception bien plus moderne et axée sur la compétition.
En résumé : peut-on battre le temps ?
Alors, une XK pourrait-elle battre une Type E ? Techniquement, non. La Type E est plus rapide, plus précise, plus sûre, mieux suspendue. Elle représente une évolution logique du concept XK, avec 15 ans de progrès technologique en plus.
Mais dans le cœur des passionnés, la XK conserve une magie que la Type E ne remplace pas forcément. C’est un peu comme comparer une montre mécanique à une montre connectée : la plus ancienne ne bat pas la plus moderne en efficacité, mais elle garde une aura intemporelle.
Et sur la route, le plaisir, parfois, ne se mesure pas au chrono.
Illustration mixte dessin/palette graphique 97 x 97 cm
Philippe Lepape
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Jaguar Mk1 Berline : Élégance, Innovation et Performances
La Jaguar Mk1, officiellement connue sous le nom de Jaguar 2.4 Litre et 3.4 Litre Saloon, est une berline sportive produite par le constructeur britannique Jaguar Cars entre 1955 et 1959. Elle représente une étape clé dans l’histoire de la marque, étant la première Jaguar à monocoque, ouvrant la voie à la génération des berlines sportives modernes, alliant luxe, technologie et performance.
Technologie et Design
Lorsque la Mk1 fut lancée, elle se démarqua immédiatement par sa carrosserie monocoque, une innovation majeure pour Jaguar. Cette construction sans châssis séparé permettait une réduction de poids et une meilleure rigidité structurelle. Le design signé William Lyons, fondateur de Jaguar, alliait lignes courbes et proportions équilibrées, avec des touches chromées caractéristiques des berlines britanniques de l’époque.
Le confort intérieur n’était pas en reste : bois verni, cuir pleine fleur, instrumentation Smiths et finition artisanale rappelaient l’ADN de luxe propre à Jaguar.
Mécanique et Performances
Sous le capot, la Mk1 fut d’abord équipée du célèbre moteur Jaguar XK 2.4 litres, un six cylindres en ligne à double arbre à cames en tête, développant environ 112 ch. En 1957, Jaguar introduit une version plus puissante : la Mk1 3.4 Litre, avec un moteur dérivé de celui utilisé dans la légendaire XK120, offrant 210 ch, ce qui transforma la berline en une véritable voiture de sport à quatre portes.
La transmission était manuelle à 4 vitesses, avec overdrive en option, et plus tard, une boîte automatique Borg-Warner pouvait être choisie. Le système de freinage était à tambours à l’avant et à l’arrière, bien que certaines versions 3.4 reçurent des freins à disque en compétition.
La Mk1 possédait une suspension avant indépendante avec des ressorts hélicoïdaux, et un essieu arrière rigide suspendu par des lames. Bien que moins sophistiquée que les suspensions postérieures de la Mk2, cette configuration permettait déjà une tenue de route supérieure à celle de nombreuses concurrentes contemporaines.
Les Pilotes et la Compétition
Malgré son apparence de berline sage, la Jaguar Mk1 a surpris le monde du sport automobile grâce à ses performances. Elle fut rapidement engagée dans diverses compétitions, en particulier dans les courses de tourisme et de côte. La version 3.4, en particulier, brilla sur les circuits.
Le plus célèbre des pilotes de Mk1 fut Mike Hawthorn, champion du monde de F1 en 1958. Il pilotait une Mk1 3.4 Litre modifiée pour un usage routier, mais aussi parfois pour des compétitions non officielles. Sa mort tragique en 1959 sur une route anglaise au volant de sa Mk1 contribua paradoxalement à renforcer l’aura de la voiture.
Un autre nom emblématique est celui de Tommy Sopwith, pilote et héritier de la société Sopwith Aviation. À la tête de l’écurie Equipe Endeavour, il engagea plusieurs Jaguar Mk1 3.4 dans des épreuves de tourisme, notamment dans le British Saloon Car Championship (BSCC).
Les Victoires et l’Héritage
La Jaguar Mk1 remporta plusieurs victoires notables dans les années 1950. Elle s’imposa notamment dans des courses comme Tourist Trophy ou Goodwood, battant des voitures pourtant plus légères et dédiées à la course. Sa supériorité venait de son moteur puissant, de sa robustesse et de son équilibre châssis-moteur.
Ces succès servirent de tremplin à la Jaguar Mk2, qui perfectionna le concept en devenant une véritable icône des années 1960. Mais c’est bien la Mk1 qui ouvrit la voie aux berlines sportives de luxe, une formule que Jaguar n’a cessé d’affiner depuis.
En résumé
La Jaguar Mk1 incarne une époque charnière de l’automobile britannique. Elle marie le raffinement classique à des innovations techniques audacieuses. Dans l’histoire de Jaguar, elle reste un symbole de transition : entre le passé artisanal et l’avenir industriel, entre l’élégance feutrée et la rage de vaincre sur piste. Grâce à ses performances, ses pilotes légendaires et ses lignes intemporelles, elle demeure une pièce majeure du patrimoine automobile mondial.
Illustration mixte dessin/palette graphique 86 x 97 cm
Philippe Lepape
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Illustration mixte dessin/palette graphique 97 x 87 cm
Philippe Lepape
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