Art et sports mécaniques - Illustration et photographie

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Mécanicien automobile dans monoplace dans les années 50 – art print tableau

Mécanicien Automobile dans Monoplace des Années 50 – Art Print Tableau

Le tableau intitulé “Mécanicien Automobile dans Monoplace des Années 50” capture l’essence d’une époque où la passion pour la course automobile atteignait son paroxysme. Ce tableau évoque une période riche en innovations techniques et en héroïsme sportif, mêlant habilement la tension de la compétition à l’élégance de la mécanique de l’époque.

L’Époque des Années 50 : Un Âge d’Or de la Course Automobile

Les années 1950 ont été marquées par une renaissance de la course automobile, un temps où les voitures étaient à la fois des merveilles technologiques et des oeuvres d’art. Les monoplaces de cette époque étaient conçues avec un souci du détail et une esthétique qui évoquaient la vitesse et le progrès. Les mécaniques étaient rudimentaires par rapport aux standards actuels, mais elles représentaient le summum de l’ingénierie de leur temps. Les circuits étaient remplis de passionnés, et chaque course était un événement attendu avec impatience.

Le Sujet du Tableau

Le tableau présente un mécanicien penché sur une monoplace, probablement en train de procéder aux ajustements finaux avant une course. Le cadre est intime, concentré sur l’interaction entre l’homme et la machine. Ce choix de composition met en lumière la relation symbiotique entre le mécanicien et sa voiture, un thème central dans la culture automobile des années 50. Le mécanicien, vêtu d’une tenue sobre, est un symbole de l’artisanat et de la compétence technique qui étaient essentiels à l’époque.

L’Esthétique et la Technique

Le choix des couleurs dans le tableau est significatif. Le rouge éclatant de la voiture attire immédiatement le regard et évoque la passion, la vitesse et le danger. Cette couleur est emblématique des voitures de course italiennes, telles que celles produites par Ferrari et Alfa Romeo. Le rouge est ici utilisé pour symboliser l’énergie et l’excitation de la course automobile.

La technique employée dans le tableau, avec des coups de pinceau visibles et une texture riche, ajoute une dimension tactile à l’œuvre. Cette approche picturale donne vie à la surface métallique de la monoplace, suggérant la robustesse et la précision de sa construction. Le rendu des reflets de lumière sur la carrosserie ajoute une dynamique visuelle qui évoque le mouvement et la vitesse, même dans l’immobilité de l’image.

Le Rôle du Mécanicien

Le mécanicien dans le tableau n’est pas simplement un personnage de second plan ; il est central à l’interprétation de l’œuvre. Il représente les innombrables hommes et femmes qui, loin des feux de la rampe, ont contribué au succès des courses automobiles. Leur expertise et leur dévouement étaient cruciaux pour la performance des voitures. Dans un sens, le mécanicien est un artiste, sculptant et façonnant la machine pour qu’elle atteigne son plein potentiel.

L’Impact Culturel

Ce tableau est plus qu’une simple représentation d’une scène de course ; il est une fenêtre sur une époque révolue. Les années 50 ont été une décennie de transformation pour l’industrie automobile, marquée par des innovations qui allaient définir l’avenir des courses. Les voitures étaient plus que des machines ; elles étaient des symboles de statut et des témoignages du progrès technologique. La course automobile était un spectacle où l’humanité et la technologie se rencontraient dans une danse périlleuse.

L’Art et l’Automobile

L’art et l’automobile ont toujours partagé un lien étroit. Les voitures de course, avec leurs lignes élégantes et leurs performances impressionnantes, ont inspiré de nombreux artistes. Ce tableau s’inscrit dans cette tradition en célébrant la beauté de la mécanique et la passion de ceux qui y consacrent leur vie. Il invite le spectateur à apprécier non seulement l’esthétique de la voiture, mais aussi l’histoire humaine qui l’accompagne.

“Mécanicien Automobile dans Monoplace des Années 50” est un hommage vibrant à une époque où la course automobile était à la fois un art et une science. Ce tableau capture la tension, la passion et la beauté de ce monde, tout en mettant en lumière le rôle crucial des mécaniciens dans ce théâtre de vitesse. À travers cette œuvre, on peut ressentir l’adrénaline des courses, le bruit des moteurs, et l’excitation du moment. C’est une célébration de l’ingéniosité humaine et de la quête incessante de la vitesse et de la perfection.

Mécanicien automobile dans monoplace dans les années 50 – art print tableau illustration art print 70 x 100 cm

Philippe Lepape

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Mécanicien automobile dans les années 1900 – art print tableau

Mécanicien Automobile avec une burette d’huile dans les années 1900 – Art Print Tableau

Le tableau intitulé “Mécanicien Automobile avec une burette d’Huile dans les Années 1900” est une œuvre captivante qui plonge le spectateur dans l’univers des débuts de l’automobile. Cette époque, marquée par une révolution technologique et industrielle, est habilement capturée à travers l’image d’un mécanicien concentré sur sa tâche, une burette d’huile à la main. Cet art print, en noir et blanc, évoque à la fois la simplicité et la complexité des débuts de la mécanique automobile.

Le Contexte Historique

Les années 1900 représentent une période charnière dans l’histoire de l’automobile. C’est une époque de transition où les véhicules à moteur commencent à remplacer les voitures à cheval. Les innovations technologiques fusent, et les ingénieurs expérimentent de nouveaux moteurs, carburants et designs. Les mécaniciens de cette époque sont des pionniers, souvent autodidactes, qui explorent des terrains inconnus.

Le tableau capture cet esprit pionnier, représentant un mécanicien plongé dans son travail. Son attention minutieuse reflète l’importance de chaque détail dans une machine encore imparfaite et en constante évolution. La burette d’huile, simple outil dans une main experte, symbolise l’essence même de la mécanique : la nécessité d’entretien et d’ajustements constants pour garantir le bon fonctionnement des premiers moteurs.

L’Art et la Technique

L’œuvre utilise le noir et blanc pour renforcer l’aspect intemporel et nostalgique de la scène. Cette palette de couleurs met en valeur les contrastes et les textures, soulignant les détails du visage du mécanicien et les reflets métalliques de la voiture. Cela crée une ambiance de concentration et de dévouement, presque sacrée, autour de l’acte mécanique.

Le cadrage serré et l’angle de vue choisi par l’artiste focalisent l’attention sur la relation intime entre l’homme et la machine. La burette d’huile, bien que petite, occupe une place centrale dans la composition, symbolisant l’outil indispensable dans l’arsenal du mécanicien.

Les coups de pinceau visibles ajoutent une texture vivante au tableau, évoquant la rugosité et la robustesse du travail manuel. Cette technique picturale donne une dimension tactile à l’œuvre, invitant le spectateur à presque sentir l’odeur de l’huile et le métal chauffé.

Le Rôle du Mécanicien

Dans le tableau, le mécanicien n’est pas simplement un personnage anonyme ; il est le héros silencieux de l’histoire automobile. À une époque où les voitures étaient des machines capricieuses, nécessitant des ajustements constants, le rôle du mécanicien était crucial. Il incarnait la transition entre l’artisanat traditionnel et l’industrie moderne.

Le mécanicien représenté ici est un symbole de compétence, de patience et d’ingéniosité. Sa posture penchée et son regard concentré témoignent de l’engagement et de la passion nécessaires pour maîtriser la technologie balbutiante de l’époque. Chaque ajustement qu’il fait est une étape vers la fiabilité et la performance des automobiles.

L’Impact Culturel

Ce tableau est plus qu’une simple scène de travail ; il est une fenêtre sur un monde en pleine transformation. Les débuts de l’automobile ont modifié la société de manière profonde, changeant la façon dont les gens vivaient, travaillaient et voyageaient. Le tableau saisit ce moment de changement, où chaque mécanicien contribuait à façonner un avenir dominé par la mobilité motorisée.

L’œuvre évoque également une époque où le lien entre l’homme et la machine était plus direct et personnel. Contrairement aux véhicules modernes, les premières automobiles exigeaient une compréhension intime de leur fonctionnement, et les mécaniciens jouaient un rôle essentiel dans cette interaction.

L’Art et l’Histoire

L’art et l’histoire sont étroitement liés dans ce tableau. Il invite le spectateur à réfléchir aux progrès réalisés depuis les débuts de l’automobile et aux défis auxquels les premiers mécaniciens ont été confrontés. Chaque coup de pinceau raconte une histoire de persévérance et d’innovation, rendant hommage à ceux qui ont pavé la voie à l’industrie automobile moderne.

“Mécanicien Automobile avec une Burette d’Huile dans les Années 1900” est un hommage vibrant aux pionniers de l’automobile et à l’art de la mécanique. À travers une scène simple mais chargée de signification, le tableau capture l’esprit d’une époque de transformation et célèbre le travail acharné et l’ingéniosité des mécaniciens qui ont contribué à façonner l’avenir de la mobilité. Cette œuvre est une célébration de l’interaction humaine avec la technologie, un rappel de la beauté et de la complexité du progrès industriel.

illustration art print 70 x 100 cm

Philippe Lepape

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Ferrari 250 LM SW et deux mecanos – art print tableau


Bienvenue dans l’univers captivant de mon illustration artistique 90 x 116 cm en 300 dpi mettant en scène la Ferrari 250 LM SW et deux mécanos. Découvrez une œuvre qui va au-delà de la simple représentation visuelle, capturant l’essence même de l’atmosphère chargée d’émotion des paddocks de course.

Ferrari 250 LM SW et Deux Mécanos : Une Scène d’Émotion Automobile

Mon illustration art print vous plonge au cœur de l’action, présentant un cadrage original qui met en avant deux mécanos poussant la Ferrari 250 LM SW. Cette scène ne se limite pas à l’esthétique des voitures de course classiques, elle capture également l’aspect humain et l’esprit d’équipe qui sont au cœur de chaque événement automobile.

Cadrage Original : Deux Mécanos à l’Œuvre

Le cadrage original de mon illustration souligne l’importance du rôle des mécanos dans le monde de la course automobile. Deux figures en action, poussant la Ferrari 250 LM SW, mettent en avant la symbiose entre l’homme et la machine. Cette scène dynamique reflète l’énergie qui règne dans les coulisses des courses, où chaque geste des mécanos contribue au succès sur la piste.

Role des Mécanos : Pilier Essentiel de la Course Automobile

Au-delà de leur rôle évident dans l’entretien et la réparation des voitures, les mécanos sont les héros méconnus des paddocks. Leur expertise technique, leur rapidité d’action et leur dévouement sont essentiels pour assurer le bon fonctionnement des véhicules de course. Mon illustration rend hommage à ces professionnels dévoués qui travaillent dans l’ombre pour permettre aux pilotes de briller sur la piste.

Honorer les Mécanos : Sans Eux, Pas de Course

Dans l’effervescence des courses automobiles, les mécanos jouent un rôle crucial. Ils veillent à ce que chaque moteur ronronne parfaitement, que chaque pneu soit ajusté avec précision, créant ainsi des conditions optimales pour la performance des voitures de course. Mon illustration rend hommage à leur dévouement silencieux mais indispensable, soulignant que sans eux, il n’y aurait pas de course.

Ferrari 250 LM SW : Un Chef-d’Œuvre Mécanique

La Ferrari 250 LM SW, emblème de l’âge d’or de la course automobile, est mise en avant dans toute sa splendeur mécanique. Son design élégant et ses caractéristiques techniques exceptionnelles en font un chef-d’œuvre de l’ingénierie automobile. L’illustration capture la fusion parfaite entre la beauté esthétique de la Ferrari et le professionnalisme des mécanos qui veillent sur elle.

Émotion Automobile : Au-Delà de la Mécanique

Mon illustration va au-delà de la mécanique pure. Elle explore l’émotion qui émane des paddocks, où l’amour de la course, le respect des véhicules classiques et la camaraderie entre mécanos créent une toile de fond vibrante. Les amateurs de sports mécaniques trouveront dans cette œuvre une résonance profonde avec l’essence même de leur passion.

Une Ode à l’Équipe et à la Passion Automobile

En conclusion, mon illustration art print met en avant bien plus qu’une simple image de la Ferrari 250 LM SW. C’est une ode à l’équipe, à la passion automobile et à l’engagement silencieux des mécanos. Elle célèbre l’union entre la mécanique complexe et les mains habiles qui la guident, créant ainsi une pièce d’art qui transmet l’essence même de l’émotion automobile. Explorez cette œuvre avec un regard nouveau, et plongez dans l’univers palpitant des courses de voitures classiques, où chaque détail compte, et où l’esprit d’équipe règne en maître.

Philippe Lepape

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Ferrari 250 LM SW et deux mecanos – art print tableau



Bienvenue dans l’univers captivant de mon illustration artistique 90 x 116 cm 300 dpi mettant en scène la Ferrari 250 LM SW et deux mécanos. Découvrez une œuvre qui va au-delà de la simple représentation visuelle, capturant l’essence même de l’atmosphère chargée d’émotion des paddocks de course.

Ferrari 250 LM SW et Deux Mécanos : Une Scène d’Émotion Automobile

Mon illustration art print vous plonge au cœur de l’action, présentant un cadrage original qui met en avant deux mécanos poussant la Ferrari 250 LM SW. Cette scène ne se limite pas à l’esthétique des voitures de course classiques, elle capture également l’aspect humain et l’esprit d’équipe qui sont au cœur de chaque événement automobile.

Cadrage Original : Deux Mécanos à l’Œuvre

Le cadrage original de mon illustration souligne l’importance du rôle des mécanos dans le monde de la course automobile. Deux figures en action, poussant la Ferrari 250 LM SW, mettent en avant la symbiose entre l’homme et la machine. Cette scène dynamique reflète l’énergie qui règne dans les coulisses des courses, où chaque geste des mécanos contribue au succès sur la piste.

Role des Mécanos : Pilier Essentiel de la Course Automobile

Au-delà de leur rôle évident dans l’entretien et la réparation des voitures, les mécanos sont les héros méconnus des paddocks. Leur expertise technique, leur rapidité d’action et leur dévouement sont essentiels pour assurer le bon fonctionnement des véhicules de course. Mon illustration rend hommage à ces professionnels dévoués qui travaillent dans l’ombre pour permettre aux pilotes de briller sur la piste.

Honorer les Mécanos : Sans Eux, Pas de Course

Dans l’effervescence des courses automobiles, les mécanos jouent un rôle crucial. Ils veillent à ce que chaque moteur ronronne parfaitement, que chaque pneu soit ajusté avec précision, créant ainsi des conditions optimales pour la performance des voitures de course. Mon illustration rend hommage à leur dévouement silencieux mais indispensable, soulignant que sans eux, il n’y aurait pas de course.

Ferrari 250 LM SW : Un Chef-d’Œuvre Mécanique

La Ferrari 250 LM SW, emblème de l’âge d’or de la course automobile, est mise en avant dans toute sa splendeur mécanique. Son design élégant et ses caractéristiques techniques exceptionnelles en font un chef-d’œuvre de l’ingénierie automobile. L’illustration capture la fusion parfaite entre la beauté esthétique de la Ferrari et le professionnalisme des mécanos qui veillent sur elle.

Émotion Automobile : Au-Delà de la Mécanique

Mon illustration va au-delà de la mécanique pure. Elle explore l’émotion qui émane des paddocks, où l’amour de la course, le respect des véhicules classiques et la camaraderie entre mécanos créent une toile de fond vibrante. Les amateurs de sports mécaniques trouveront dans cette œuvre une résonance profonde avec l’essence même de leur passion.

Une Ode à l’Équipe et à la Passion Automobile

En conclusion, mon illustration art print met en avant bien plus qu’une simple image de la Ferrari 250 LM SW. C’est une ode à l’équipe, à la passion automobile et à l’engagement silencieux des mécanos. Elle célèbre l’union entre la mécanique complexe et les mains habiles qui la guident, créant ainsi une pièce d’art qui transmet l’essence même de l’émotion automobile. Explorez cette œuvre avec un regard nouveau, et plongez dans l’univers palpitant des courses de voitures classiques, où chaque détail compte, et où l’esprit d’équipe règne en maître.

Philippe Lepape

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Mecanicien Ferrari portrait – tableau art print



L’Époque Glorieuse : Portrait d’un Mécanicien Ferrari à Côté d’une F1 dans les Années 1965

Quand les Héros de l’Atelier Contribuaient à la Légende de Ferrari

Les années 1965 ont été une époque charnière pour l’industrie de la Formule 1 et Ferrari. Alors que les pilotes étaient les stars incontestées des circuits, les mécaniciens en coulisses ont joué un rôle essentiel dans le succès de l’écurie. Dans cet article, nous explorerons le portrait d’un mécanicien Ferrari aux côtés d’une F1 dans les années 1965, un hommage aux héros discrets qui ont contribué à forger la légende de Ferrari.

L’Époque d’Or de la Formule 1

Les années 1960 étaient une période dorée pour la Formule 1, marquée par une compétition féroce entre les constructeurs et les pilotes. Ferrari, en tant qu’un des acteurs majeurs de cette scène, cherchait constamment à repousser les limites de la performance.

Les Hommes dans l’Ombre

Si les pilotes étaient les visages publics de l’écurie Ferrari, les mécaniciens étaient les héros anonymes qui travaillaient en coulisses pour que tout fonctionne parfaitement. Ils passaient d’innombrables heures à préparer les monoplaces, à effectuer des réglages minutieux et à résoudre les problèmes mécaniques.

L’Art de la Préparation

La Formule 1 exige une précision absolue, et les mécaniciens de Ferrari étaient les gardiens de cette précision. Ils savaient que la moindre erreur pouvait coûter une course. Chaque boulon, chaque composant de la monoplace était scruté, ajusté et optimisé pour offrir la meilleure performance possible.

La Pression des Courses

Lors des week-ends de course, la pression sur les mécaniciens atteignait son paroxysme. Les arrêts au stand devaient être rapides et impeccables. Les mécaniciens devaient changer les pneus, faire le plein d’essence et effectuer des ajustements cruciaux en quelques précieuses secondes.

Les Défis Techniques

Les années 1965 ont également vu l’introduction de nombreuses innovations techniques en Formule 1. Les mécaniciens devaient constamment s’adapter à de nouvelles technologies et résoudre des problèmes complexes. Ils étaient les ingénieurs de terrain de Ferrari.

Une Camaraderie Exceptionnelle

Le lien entre les pilotes et les mécaniciens était fort. Ils partageaient le même objectif : la victoire. La confiance entre les deux était cruciale. Les mécaniciens savaient que les pilotes comptaient sur eux, et les pilotes savaient que leur succès dépendait du travail acharné des mécaniciens.

Des Histoires de Victoire

Les années 1965 ont été marquées par des victoires mémorables pour Ferrari. Des pilotes légendaires tels que John Surtees et Lorenzo Bandini ont piloté les monoplaces Ferrari vers la gloire. Derrière chaque victoire, il y avait un mécanicien dévoué.

L’Héritage des Mécaniciens Ferrari

L’héritage des mécaniciens Ferrari des années 1965 perdure aujourd’hui. Leur engagement envers la perfection et leur dévouement à la cause de l’écurie restent des valeurs clés de Ferrari. Les mécaniciens actuels perpétuent cette tradition, tout en bénéficiant des technologies modernes.

Le portrait d’un mécanicien Ferrari à côté d’une F1 dans les années 1965 est un rappel poignant de l’importance des hommes et des femmes qui travaillent dans l’ombre pour que la magie de la Formule 1 opère. Leurs compétences, leur détermination et leur esprit d’équipe ont contribué à faire de Ferrari une légende de la course automobile. Alors que la Formule 1 continue d’évoluer, il est essentiel de se souvenir de ces héros discrets qui ont contribué à écrire l’histoire de ce sport exceptionnel.

Philippe Lepape

Illustration numérique format 50 x 72 cm

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Monoplace dans les années 60 – digigraphie poster illustration digitale

Monoplace dans les années 60 – dessin photographique façon huile – digigraphie 60 x 70 cm

Cette illustration digitale ou digigraphie de Monoplace dans les années 60 illustration façon huile est optimisée pour un format d’impression qualité exposition digigraphie 60 x 70 cm .

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Monoplace poussette jusqu’à la grille de départ dans les années 60 – digigraphie poster illustration digitale

Monoplace poussette jusqu’à la grille de départ dans les années 60 – dessin photographique façon huile – digigraphie 60 x 70 cm

Cette illustration digitale ou digigraphie de Monoplace poussette jusqu’à la grille de départ dans les années 60 illustration façon huile est optimisée pour un format d’impression qualité exposition digigraphie 60 x 70 cm .

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Les mécaniciens de chez Ferrari dans les années 60 – tableau poster illustration digitale

Les mécaniciens de chez Ferrari dans les années 60

Cette illustration digitale de Les mécaniciens de chez Ferrari dans les années 60 est optimisée pour un format d’impression qualité exposition 60 x 80 cm .

Fichier numérique et tirage en impression à l’unité de qualité exposition sur papier Hahnemülhe 200 gr disponibles suivant votre demande sur la plate-forme Ebay

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Alfa Romeo type 158 1939 – poster, affiche et aquarelle

Alfa Romeo type 158 1939 aquarelle lavis encre de Chine au format 50 x 65 cm

Alfa Romeo type 158 en 1939

Alfa Romeo type 158 1939 poster, affiche et aquarelle. Cette aquarelle lavis encre de Chine au format 50 x 65 cm a été réalisée à partir d’une prise de vues photographiques. Cette voiture mythique me sert aussi de modèle pour mes illustrations s.

Vous pouvez acquérir l’original ou une reproduction de cette aquarelle. Impression à l’unité de qualité exposition sur papier texturé.

Pour les dimensions et tarifs voir la rubrique “tarif”

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Vanwall VW5 en 1957 – tableau aquarelle lavis encre de chine

Ce lavis d’encre de chine au format 50 x 65 cm de Vanwall VW5 en 1957 est réalisé à partir d’une prise de vues photographiques. Cette voiture de course me sert souvent de modèle pour mes aquarelles.

Original ou reproduction en impression à l’unité de qualité exposition sur papier Hahnemühle 200 gr.
Encadrement possible et autre format sur demande.

Pour les tarifs voir la rubrique “tarif”

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Vanwall était une équipe et un constructeur automobile de course qui a été actif dans la Formule 1 dans les années 1950. Fondé par Tony Vandervell, le nom Vanwall a été dérivé en combinant le nom du propriétaire de l’équipe avec celui de ses roulements Thinwall produits à l’usine Vandervell Products à Acton , Londres. Entrant à l’origine dans des Ferrari modifiées dans des courses hors championnat, Vanwall a construit leurs premières voitures à courir lors de la saison de Formule 1 de 1954 . L’équipe a remporté sa première victoire en course lors du Grand Prix de Grande-Bretagne de 1957 , avec Stirling Moss et Tony Brookspartage une VW 5, ce qui lui a valu la distinction de construire la première voiture de construction britannique à remporter une course de championnat du monde. Vanwall a remporté le premier Championnat des constructeurs en Formule 1 en 1958 , permettant ainsi à Moss et Brooks de terminer deuxième et troisième au classement du Championnat des pilotes, remportant trois courses chacune. La santé défaillante de Vandervell signifiait que 1958 serait la dernière saison complète; l’équipe a couru des voitures dans une poignée de courses dans les années suivantes, mais a terminé la course en 1961.

Tony Vandervell était l’un des premiers bailleurs de fonds de British Racing Motors . Au début des années 1950, il participa à une série de Ferrari modifiées dans des courses de Formule Libre sous le nom de “Thinwall Special”.

Les premiers Vanwalls réels étaient connus sous le nom de Vanwall Specials et ont été construits pour les nouveaux règlements de Formule 1 en 1954 à Cox Green , Maidenhead . Le châssis a été conçu par Owen Maddock et construit par la Cooper Car Company . Le moteur 2,0 L a été conçu par l’ ingénieur Norton Leo Kuzmicki et était essentiellement quatre moteurs Manx [1] monocylindre de 498 cm3 (86,4 mm × 85,6 mm (3,39 pouces × 3,37 pouces)) avec une chemise d’eau commune , culasse (une copie de la Norton) et valvetrain , [1] avec induction par quatre Carburateurs moto AMAL . [1] Cette combinaison a été montée sur un carter de moteur Rolls-Royce “B” , copié en aluminium . [2] Conçue pour la Formule 2 , qui a été supplantée avant son apparition, [2] la voiture a fait ses débuts dans une Grande Epreuve lors du Grand Prix britannique de 1954 . Contre la compétition de Formule 1 de 2½ litres , il était nettement désavantagé. Les freins à disque Goodyear (construits par Vanwall) se sont avérés efficaces [2], mais la suspension avant et les systèmes de carburant et de refroidissement étaient gênants. [2] Le développement s’est poursuivi avec un passage à l’ injection de carburant Bosch (grâce à la «persuasion» de Daimler-Benz de Vandervell , un client majeur de Bosch, de l’autoriser) [3], tout en conservant les corps de papillon AMAL ; ils étaient en proie à des problèmes de tringlerie d’accélérateur, en raison des vibrations du grand quatre cylindres. [2] Vanwall a également augmenté la capacitédes moteurs, d’abord à 2237 cm3 (137 pouces cubes) (91,0 mm × 86,0 mm (3,58 pouces × 3,39 pouces)) pour Peter Collins à Monaco 1955, puis à 2489 cm3 (151,9 pieds cubes) (96,0 mm × 86,0) mm (3,78 pouces × 3,39 pouces)). Vanwalls a ensuite couru pendant une saison en F1 sans trop de succès. À la fin de la saison 1955, il était clair que le moteur était sain, mais que le châssis dérivé de Ferrari [2] devait être amélioré. Il a été suggéré à Vandervell qu’il devrait embaucher les services d’un jeune designer en devenir pour améliorer leurs voitures. Le concepteur était Colin Chapman .

Les nouvelles voitures de 1956 conçues par Chapman (avec l’aérodynamicien Frank Costin ) étaient de construction à cadre spatial , le poids non suspendu de l’essieu arrière De Dion était réduit et la barre de torsion avant ajoutée. (Aucune de ces idées n’était révolutionnaire, mais Chapman était simplement heureux d’être méticuleux.) [4] De plus, une cinquième vitesse et un synchromesh Porsche ont été ajoutés à la transmission . Le siège du conducteur était placé au-dessus de celui-ci et ne pouvait pas être réduit en dessous de 13 po (330 mm) au-dessus de la route, ce qui rendait la hauteur très problématique (le haut du casque du conducteur était à 50 po (1270 mm) de la surface de la route, tandis que le le moteur monté verticalement rendait la réduction impossible dans tous les cas), et la tenue de route était suspecte malgré les meilleurs efforts de Chapman. La solution qui est aujourd’hui évidente, monter le moteur derrière le conducteur, prendrait encore deux ans pour être acceptée. Costin en a tiré le meilleur parti et a produit une voiture “beaucoup plus rapide en ligne droite que n’importe laquelle de ses rivales”.

La nouvelle voiture s’est révélée prometteuse en 1956 en remportant la course hors championnat de F1 à Silverstone contre une forte opposition. Il a établi le record du tour à Syracuse Stirling Moss a conduit la voiture à la victoire dans ce qui était sa seule conduite pour Vanwall cette année, car il était toujours sous contrat pour conduire pour Maserati en F1. Les pilotes talentueux Harry Schell et Maurice Trintignant étaient les chronométreurs à plein temps de la saison. Cependant, aucun d’eux n’a eu beaucoup de succès bien que la voiture ait montré un potentiel évident.

Avec la voiture se développant et devenant de plus en plus compétitive, Moss a finalement décidé de conduire pour l’équipe en 1957. Il a été rejoint par deux Anglais, Tony Brooks et Stuart Lewis-Evans . Au cours de la saison 1957, les voitures sont devenues plus rapides et plus fiables. Moss et Brooks ont dûment partagé la première victoire de Vanwall en Grande-Bretagne à Aintree , et Moss a ensuite remporté les deux Italiens (où seul le pilotage par Fangio a permis à la Maserati de courir avec les Vanwalls, car Moss a terminé avec 41 secondes en main même après un arrêt au stand ) [5] et Pescara Grands Prix.

À la fin de 1957, les carburants à base d’alcool ont été interdits et remplacés par une essence d’aviation obligatoire à 130 octanes . Cela a causé des problèmes pour Vanwall et BRM avec leurs moteurs à gros alésage qui nécessitaient du méthanol pour le refroidissement du moteur. En conséquence, la puissance de Vanwall est passée de 290 ch (220 kW) à 7 500 tr / min [5] (308 ch avec nitrométhane) à 278 ch (207 kW) sur le banc d’essai. Pendant la course, où le régime était réduit, seulement 255-262 ch à 7 200–7 400 tr / min étaient disponibles. Cela les a désavantagés par rapport aux nouvelles voitures Dino Ferrari V6 avec une prétendue 290 PS (286 ch) à 8 300 tr / min. La tenue de route supérieure de la Vanwall (grâce aux changements de suspension, de nouvelles roues en acier et nouveau nylon -Cord Dunlop pneus de course R5), [5] la rationalisation, la boîte de vitesses à 5 rapports et les freins à disque ont contribué à compenser cela.

Les trois pilotes sont restés avec l’équipe en 1958, et Moss (victoires aux Pays-Bas, au Portugal et au Maroc) et Brooks (victoires en Belgique, en Allemagne et en Italie) ont chacun remporté trois courses de championnat cette saison-là. Vanwall est devenue la première équipe à remporter le Championnat des constructeurs , organisé pour la première fois cette saison. Cependant, Moss a perdu contre Mike Hawthorn dans le championnat des pilotes par un seul point pour terminer deuxième, Brooks terminant la saison en troisième. Leur triomphe à la fin de la saison a malheureusement été gâché lorsque, lors de la dernière course de l’année au Maroc , Lewis-Evans a été mortellement blessé dans un accident.

La saison 1958 a été la dernière au cours de laquelle Vanwall a participé à toutes les courses. La santé de Vandervell se détériorait et ses médecins lui avaient conseillé de se reposer. L’équipe a continué sans enthousiasme. Brooks a fait une apparition dans un Vanwall inférieur et plus léger au Grand Prix de Grande-Bretagne de 1959 , se révélant moins efficace contre les nouvelles Coopers à moteur central , et l’équipe a réessayé avec une autre voiture dans le Grand Prix de France de 1960 . Ces efforts manquaient cependant de sérieux dans le passé et ils ont échoué.

Le dernier Vanwall de course était une machine à moteur arrière “peu maniable” [5] produite pour la formule intercontinentale de 3,0 litres de 1961 . Bien que prometteur lors de la campagne de John Surtees en deux courses, le développement a été stoppé lorsque la formule n’a pas été couronnée de succès en Europe. Le moteur a été agrandi à 2605 cm3 (159 pouces cubes) (96,0 mm × 90,0 mm (3,78 pouces × 3,54 pouces)), évalué à 290 ch (220 kW) avec de l’essence 100 octanes.

La collection Donington avait un exemple complet de chaque modèle, y compris la voiture à moteur arrière.

En 2003, Vanwall Cars a été créée, produisant la Vanwall GPR V12, une voiture monoplace homologuée pour la route qui ressemble fortement aux premières voitures de course Vanwall, et la Sports Racer, une biplace d’un style similaire. En 2013, la marque a été acquise de Mahle Engine Systems UK par Sanderson International Marketing Ltd.

Source Wikipedia UK

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