“À partir d’une ou de photos d’archive, auteur inconnu. Mise en couleur et transformation artistique par Philippe Lepape » NB : Les images dont je m’inspire sont anciennes et je ne dispose pas des noms des ayants droits je retirerai mes images de mon site sur simple demande.
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L’année 1914 marque un sommet dans l’histoire précoce du sport automobile, et Mercedes y joue un rôle de premier plan. Juste avant que la Première Guerre mondiale ne fige l’Europe, la firme allemande démontre l’étendue de sa supériorité technique et stratégique lors d’une des courses les plus mythiques de l’époque : le Grand Prix de l’Automobile Club de France, couru à Lyon. Ce fut une apothéose mécanique et humaine, une domination nette, et une démonstration de puissance allemande… dans tous les sens du terme.
Une technique de pointe : la Mercedes 18/100 Grand Prix
La voiture vedette de 1914 est la Mercedes 18/100 Grand Prix, un pur-sang taillé pour l’endurance et la performance. Elle a été conçue dans les ateliers de Daimler-Motoren-Gesellschaft (DMG) à Stuttgart, sous la direction du brillant ingénieur Paul Daimler, fils de Gottlieb Daimler, le pionnier de l’automobile.
Le moteur est un quatre cylindres en ligne de 4,5 litres, développant 106 chevaux à 3 100 tr/min – une puissance exceptionnelle pour l’époque. Le nom « 18/100 » fait référence à la puissance fiscale (18 CV) et à la puissance réelle (100 chevaux).
Elle se distingue par des innovations techniques significatives :
Soupapes en tête : une rareté à l’époque, permettant une meilleure respiration du moteur.
Refroidissement à eau avec une pompe et un grand radiateur vertical, garantissant une température stable même sur les longues courses.
Boîte manuelle à 4 rapports, montée en bloc avec l’embrayage, pour plus de fiabilité.
Châssis léger mais robuste, combinant rigidité et souplesse sur les routes accidentées.
Freins à tambours uniquement à l’arrière, mais efficaces pour les standards de 1914.
Les voitures étaient construites avec une rigueur industrielle impressionnante, ce qui tranchait avec certaines productions artisanales de l’époque.
Les pilotes : la fine fleur européenne
Pour affronter le Grand Prix de France 1914, Mercedes engage une équipe de pilotes internationaux, tous parmi les meilleurs du moment.
Christian Lautenschlager : ouvrier devenu pilote d’usine chez Mercedes, déjà vainqueur du Grand Prix de France en 1908, il est discret, calme et redoutablement efficace.
Louis Wagner : pilote français engagé par Mercedes, connu pour sa bravoure et sa finesse technique.
Otto Salzer : expérimenté, fiable, ancien motard devenu pilote de voitures de course.
Max Sailer : jeune talent, très rapide mais parfois trop fougueux.
Theodor Pilette : pilote belge, également engagé pour renforcer l’équipe.
La composition internationale de l’équipe symbolisait encore un monde où la compétition transcendait les nationalités — juste avant que la guerre ne fracture cette unité.
La victoire de Lyon : domination totale
Le Grand Prix de l’Automobile Club de France 1914, organisé sur un circuit routier de 37,6 km à Lyon, est considéré comme l’un des plus importants de l’histoire. Il réunit les plus grandes marques : Peugeot, Delage, Fiat, Sunbeam et Mercedes.
La course s’étale sur 20 tours, soit plus de 750 kilomètres, sur des routes poussiéreuses, parsemées de virages dangereux, de pentes et de cailloux. Les Mercedes dominent dès les premiers tours grâce à leur endurance, leur fiabilité et leur faible consommation.
Christian Lautenschlager remporte la victoire en 7h 08min 18s, devant ses coéquipiers Louis Wagner et Otto Salzer. Triplé historique pour Mercedes : une humiliation pour Peugeot, pourtant favorite avec ses moteurs à double arbre à cames.
Cette victoire fut vécue en Allemagne comme un triomphe technologique national, tandis que les tensions politiques s’envenimaient en Europe. À peine quelques semaines plus tard, la guerre éclatait, mettant fin aux compétitions automobiles jusqu’en 1919.
Un héritage durable
La victoire de Mercedes en 1914 reste une des plus emblématiques de l’ère pré-guerre. Elle symbolise l’aboutissement d’une décennie de progrès techniques fulgurants. C’est aussi la dernière grande compétition internationale avant que l’Europe ne sombre dans la guerre.
L’héritage de cette victoire est double : d’une part, une démonstration éclatante de la supériorité industrielle allemande ; d’autre part, un souvenir poignant d’une époque où l’automobile était synonyme de passion, de bravoure, et de génie mécanique.
illustration art print 82 x 116 cm
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Illustration originale – Technique mixte sur palette graphique, 97 x 97 cm – Impression tous formats, tous supports
Philippe Lepape
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Alfa Romeo Giulia GT (1976) : L’élégance sportive italienne sur les circuits
L’Alfa Romeo Giulia GT, dans ses nombreuses déclinaisons, fut l’une des voitures de sport les plus emblématiques de l’Italie des années 1960 et 1970. En 1976, alors que la production touche à sa fin, la Giulia GT reste une référence en compétition, notamment dans ses versions GTA (Gran Turismo Alleggerita) et GTAm, véritables machines de course qui ont marqué de nombreuses pages du sport automobile européen.
Une base technique raffinée
Lancée initialement en 1963, la Giulia Sprint GT conçue par Giorgetto Giugiaro pour Bertone se distingue par son style équilibré, à la fois agressif et élégant. En 1976, on en est aux dernières évolutions du modèle, comme la GT 1300 Junior, la 2000 GTV, ou les versions GTA/GTAm dédiées à la compétition.
Motorisation
Sous le capot, les moteurs Alfa sont de véritables chefs-d’œuvre :
Quatre cylindres en ligne tout alu, avec double arbre à cames en tête (DOHC), une technologie réservée à l’époque aux voitures de sport ou de compétition.
En version GTAm (160 à 200 ch selon la préparation), le moteur de 2 litres est alimenté par une injection mécanique Spica ou des carburateurs Weber/Dell’Orto.
Rapport poids/puissance très favorable grâce à l’allègement extrême (panneaux en aluminium, vitrage allégé, intérieur dépouillé).
Châssis et tenue de route
La voiture repose sur un châssis monocoque rigide avec une suspension avant indépendante (triangles superposés) et un essieu arrière rigide guidé, simple mais très efficace.
Le différentiel autobloquant est souvent monté sur les versions de course.
Freins à disque sur les quatre roues dès les premiers modèles, encore affinés dans les versions GTAm.
L’ensemble offre une voiture vive, nerveuse, agile, qui se pilote avec finesse. Son comportement en virage est légendaire, avec une excellente répartition des masses et un équilibre très « italien ».
Les pilotes : talents et tempérament
Nombreux sont les pilotes qui se sont illustrés au volant d’une Alfa Romeo Giulia GT en compétition entre les années 60 et 70, y compris en 1976, sa dernière grande année sur les circuits avant que la Giulietta puis l’Alfetta prennent le relais.
Toine Hezemans (Pays-Bas) : un des plus célèbres pilotes des Giulia GTA puis GTAm, avec de nombreuses victoires en championnat européen.
Andrea de Adamich (Italie) : pilote Alfa officiel, connu pour son talent et sa régularité.
Ignazio Giunti, Nanni Galli, ou encore Luigi Colzani ont aussi marqué l’histoire de la voiture dans les années précédentes.
En 1976, des pilotes privés et semi-officiels comme Carlo Facetti ou Giorgio Francia continuent à briller avec des GTAm engagées dans des courses de tourisme.
Un palmarès éloquent en compétition
La Giulia GT, surtout dans ses déclinaisons GTA et GTAm, a remporté une foule de victoires en compétition. En 1976, bien que le modèle soit vieillissant face aux nouvelles générations de voitures de tourisme, il reste redoutable.
Victoires notables :
Championnat d’Europe des voitures de tourisme (ETCC) : Alfa Romeo domine la scène pendant plusieurs années, y compris jusqu’en 1976 avec des GTAm menées par des équipes privées.
Victoires de classe régulières dans les épreuves d’endurance : 6 Heures de Nürburgring, 24 Heures de Spa, Tour de France automobile, etc.
De nombreux championnats nationaux : en Italie, Allemagne, France et même en Amérique latine, les Giulia GT remportent des titres dans leur catégorie.
La domination technique de l’Alfa GT repose sur un mélange rare de légèreté, de puissance, de fiabilité et de maniabilité. Bien que la concurrence devienne plus féroce (BMW 3.0 CSL, Ford Capri RS, etc.), la Giulia continue à faire des podiums grâce à des préparations fines et une base très saine.
Héritage d’une reine du tourisme
La Giulia GT, et plus particulièrement ses versions de course GTAm, incarnent l’âge d’or d’Alfa Romeo en compétition-client. En 1976, elle termine sa carrière sur une note honorable, toujours compétitive malgré l’arrivée de nouvelles générations. Son succès repose sur l’ingéniosité italienne, le talent des pilotes, et la beauté mécanique d’une voiture conçue à la fois pour la route et pour la piste.
Aujourd’hui, elle est devenue une icône. Sur les circuits historiques comme dans les collections, la Giulia GT reste une légende vivante du sport automobile européen.
Illustration mixte dessin/palette graphique 94 x 97 cm
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Illustration mixte dessin/palette graphique 97 x 87 cm
Philippe Lepape
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Illustration mixte dessin/palette graphique 97 x 97 cm
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Illustration mixte dessin/palette graphique 90 x 105 cm
Philippe Lepape
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