Art et sports mécaniques - Illustration et photographie

Category: Course (Page 6 of 96)

Aston Martin DBR1 au couché de soleil – art print tableau


“Aston Martin DBR1 sous un couché de soleil”

Aston Martin DBR1 : L’apogée de la course britannique

L’Aston Martin DBR1 est une voiture de course légendaire, symbole de l’excellence automobile britannique et aboutissement d’un long processus d’évolution technique et stratégique dans le monde des sports mécaniques d’après-guerre. Introduite en 1956, la DBR1 n’était pas simplement une voiture rapide ; elle incarnait la détermination d’Aston Martin à dominer les plus prestigieuses compétitions d’endurance, notamment les 24 Heures du Mans.


Le fruit d’une longue évolution

L’histoire de la DBR1 est indissociable de la stratégie à long terme mise en place par David Brown, l’industriel qui avait racheté Aston Martin en 1947. Dès les débuts, Brown voulait positionner la marque comme un acteur majeur des compétitions internationales. Après des tentatives timides avec les modèles DB2 et DB3, puis une amélioration notable avec la DB3S, il était clair qu’Aston Martin avait besoin d’une machine plus légère, plus puissante et mieux conçue pour rivaliser avec les géants de l’époque : Ferrari, Jaguar, Maserati.

La DBR1 fut donc conçue dans ce contexte. Elle fut développée par une équipe dirigée par le célèbre ingénieur Ted Cutting. Dès 1956, elle incarne la nouvelle philosophie de la marque : combiner performance, fiabilité et élégance. Le châssis tubulaire de la DBR1, plus léger que celui de la DB3S, était conçu pour maximiser la rigidité tout en réduisant le poids. Sa carrosserie en aluminium, aux lignes pures et aérodynamiques, contribuait à sa légèreté et à sa vitesse de pointe.


Technique et ingéniosité

Au cœur de la DBR1 se trouvait un moteur 6 cylindres en ligne de 2.5 litres, dérivé des moteurs Lagonda, également propriété de David Brown. Ce moteur fut ensuite augmenté à 3.0 litres pour se conformer au nouveau règlement du Championnat du Monde des voitures de sport. Alimenté par trois carburateurs Weber, ce bloc produisait environ 250 chevaux, permettant à la voiture d’atteindre plus de 250 km/h.

La DBR1 utilisait une boîte manuelle à 5 rapports et des freins à disque Girling, une technologie encore rare à l’époque mais cruciale pour les longues courses d’endurance. La suspension avant était à double triangulation, tandis que l’arrière adoptait un essieu De Dion, un compromis entre indépendance de mouvement et rigidité.

La voiture alliait donc puissance, tenue de route et fiabilité. Mais c’est son équilibre parfait sur la piste, résultat d’un poids bien réparti et d’un aérodynamisme travaillé, qui fit sa renommée. Elle excellait dans les longues courses où la constance et l’endurance primaient sur la vitesse pure.


Les pilotes légendaires

La DBR1 fut confiée à certains des plus grands noms du sport automobile des années 1950. Parmi eux, Stirling Moss, l’un des pilotes britanniques les plus talentueux de tous les temps, qui joua un rôle crucial dans le développement et les premières victoires du modèle. Moss remporta notamment le Nürburgring 1000 km en 1958 et 1959 au volant de la DBR1.

D’autres grands pilotes incluent Carroll Shelby, le futur fondateur des légendaires Cobra, qui mena la DBR1 vers la victoire au Mans en 1959 en duo avec Roy Salvadori. Cette victoire est d’ailleurs le point culminant de l’histoire de la DBR1 : Aston Martin y battit Ferrari et Porsche, réalisant ainsi un rêve longtemps caressé par David Brown.

D’autres pilotes comme Tony Brooks, Jack Fairman, Maurice Trintignant et Paul Frère contribuèrent également à forger la légende de cette voiture.


Les grandes victoires

La carrière de la DBR1 s’étend de 1956 à 1959, avec un total de cinq châssis produits. Elle brilla dans de nombreuses courses, notamment dans le Championnat du monde des voitures de sport, qu’elle permit à Aston Martin de remporter en 1959, grâce à une série de victoires :

  • 24 Heures du Mans 1959 : Shelby et Salvadori remportèrent la course, Aston Martin devançant Ferrari, un exploit inégalé pour la marque à ce jour.
  • 1000 km du Nürburgring : Victoires en 1957, 1958 et 1959, témoignant de la capacité de la voiture à dominer sur des circuits exigeants.
  • Goodwood Tourist Trophy : Plusieurs victoires, y compris la victoire décisive en 1959 qui assura le titre mondial à la marque.

Un héritage durable

Bien que la DBR1 ait été rapidement remplacée dans les années 1960 par des prototypes à moteur central (comme la DBR4 en F1 et les futurs projets avortés), son héritage reste incomparable. Elle demeure la seule Aston Martin à avoir remporté les 24 Heures du Mans, et représente l’aboutissement de l’engagement de la marque dans le sport automobile d’avant-guerre.

Aujourd’hui, la DBR1 est considérée comme l’une des voitures de course les plus belles et les plus importantes de tous les temps. En 2017, l’un des cinq exemplaires a été vendu aux enchères pour plus de 22 millions de dollars, un record pour une voiture britannique.

Illustration originale – Technique mixte sur palette graphique, 90 x 102 cm – Impression tous formats, tous supports

Philippe Lepape

Renseignements

“À partir d’une ou de photos d’archive, auteur inconnu. Mise en couleur et transformation artistique par Philippe Lepape » NB : Les images dont je m’inspire sont anciennes et je ne dispose pas des noms des ayants droits je retirerai mes images de mon site sur simple demande.

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Ferrari 290 MM 1956 dans un village – art print tableau


La Ferrari 290 MM de 1956 est l’une des voitures de course les plus mythiques de l’histoire de la Scuderia Ferrari. Conçue à une époque où la Formule 1 et les courses d’endurance façonnaient la légende de l’automobile, elle incarne l’excellence mécanique, la passion du sport automobile et la rareté absolue.

Caractéristiques techniques

La Ferrari 290 MM (Mille Miglia) a été développée sous la direction du célèbre ingénieur Vittorio Jano, en réponse aux exigences des grandes courses d’endurance telles que la Mille Miglia, les 1000 km de Buenos Aires ou les 12 Heures de Sebring. Sous son capot se trouvait un moteur V12 atmosphérique de 3 490 cm³ (3,5 litres) à angle ouvert de 60°, dérivé des moteurs conçus par Jano pour les monoplaces de Grand Prix.

Ce moteur développait environ 320 chevaux à 7 200 tr/min, une puissance remarquable pour l’époque, et permettait à la voiture d’atteindre une vitesse maximale proche de 280 km/h. Elle était équipée d’une boîte manuelle à 4 vitesses, d’un châssis tubulaire en acier, et d’une carrosserie dessinée par Scaglietti, spécialiste des carrosseries légères en aluminium. Son poids avoisinait les 880 kg, ce qui offrait un excellent rapport poids/puissance et une maniabilité exemplaire sur route sinueuse.

Pilotes emblématiques

La Ferrari 290 MM a été confiée à certains des plus grands pilotes de l’époque. Parmi eux :

  • Juan Manuel Fangio, quintuple champion du monde de F1, qui la pilota notamment lors de la Mille Miglia 1956.
  • Stirling Moss, l’un des pilotes les plus talentueux jamais couronnés.
  • Peter Collins, pilote britannique très lié à Ferrari, mort tragiquement en course en 1958.
  • Phil Hill, futur champion du monde F1 en 1961.
  • Eugenio Castellotti, jeune espoir italien, qui mena la 290 MM à de belles performances.

Victoires et palmarès

La 290 MM fut conçue spécifiquement pour gagner la Mille Miglia 1956, une des courses les plus prestigieuses de l’époque. Mission accomplie : Eugenio Castellotti remporta cette édition avec brio, offrant à Ferrari une victoire importante face à Maserati et Mercedes-Benz. La voiture participa aussi à d’autres épreuves importantes :

  • 1000 km de Buenos Aires (1957) : 2e place.
  • 12 Heures de Sebring (1957) : performances solides mais moins marquantes.
  • Targa Florio et Nürburgring : des participations avec des résultats variables, souvent freinés par des problèmes de fiabilité ou des abandons.

Malgré une carrière brève, la 290 MM contribua grandement à la domination de Ferrari en endurance à la fin des années 1950.

Valeur et rareté

Seulement 4 exemplaires de la Ferrari 290 MM ont été construits, ce qui en fait l’une des Ferrari les plus rares au monde. Cette extrême rareté, couplée à son palmarès et aux légendes qui l’ont pilotée, en font un objet de collection inestimable.

Lors d’une vente aux enchères organisée par RM Sotheby’s en 2015, une 290 MM ayant été pilotée par Fangio a été adjugée pour plus de 28 millions de dollars, faisant d’elle l’une des voitures les plus chères jamais vendues.

La Ferrari 290 MM est bien plus qu’une voiture de course : c’est une œuvre d’art mécanique, un témoignage d’une époque glorieuse du sport automobile, et une légende qui continue de fasciner les amateurs du monde entier. Rare, rapide, belle et victorieuse, elle incarne à elle seule l’esprit de compétition de Ferrari dans les années 1950.

Tableau technique mixte dessin/palette graphique
Illustration numérique réalisée au format 97 x 97 cm, disponible en impression fine art toile, papier et autres dimensions…

Renseignements

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Ford GT40 départ 24 heures du Mans sous l’orage – art print tableau


Tableau technique mixte dessin/palette graphique
Illustration numérique réalisée au format 97 x 97 cm, disponible en impression fine art toile, papier …

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Jaguar MK1 berline sur la piste du rallye – art print tableau


Jaguar Mk1 Berline : Élégance, Innovation et Performances

La Jaguar Mk1, officiellement connue sous le nom de Jaguar 2.4 Litre et 3.4 Litre Saloon, est une berline sportive produite par le constructeur britannique Jaguar Cars entre 1955 et 1959. Elle représente une étape clé dans l’histoire de la marque, étant la première Jaguar à monocoque, ouvrant la voie à la génération des berlines sportives modernes, alliant luxe, technologie et performance.


Technologie et Design

Lorsque la Mk1 fut lancée, elle se démarqua immédiatement par sa carrosserie monocoque, une innovation majeure pour Jaguar. Cette construction sans châssis séparé permettait une réduction de poids et une meilleure rigidité structurelle. Le design signé William Lyons, fondateur de Jaguar, alliait lignes courbes et proportions équilibrées, avec des touches chromées caractéristiques des berlines britanniques de l’époque.

Le confort intérieur n’était pas en reste : bois verni, cuir pleine fleur, instrumentation Smiths et finition artisanale rappelaient l’ADN de luxe propre à Jaguar.


Mécanique et Performances

Sous le capot, la Mk1 fut d’abord équipée du célèbre moteur Jaguar XK 2.4 litres, un six cylindres en ligne à double arbre à cames en tête, développant environ 112 ch. En 1957, Jaguar introduit une version plus puissante : la Mk1 3.4 Litre, avec un moteur dérivé de celui utilisé dans la légendaire XK120, offrant 210 ch, ce qui transforma la berline en une véritable voiture de sport à quatre portes.

La transmission était manuelle à 4 vitesses, avec overdrive en option, et plus tard, une boîte automatique Borg-Warner pouvait être choisie. Le système de freinage était à tambours à l’avant et à l’arrière, bien que certaines versions 3.4 reçurent des freins à disque en compétition.

La Mk1 possédait une suspension avant indépendante avec des ressorts hélicoïdaux, et un essieu arrière rigide suspendu par des lames. Bien que moins sophistiquée que les suspensions postérieures de la Mk2, cette configuration permettait déjà une tenue de route supérieure à celle de nombreuses concurrentes contemporaines.


Les Pilotes et la Compétition

Malgré son apparence de berline sage, la Jaguar Mk1 a surpris le monde du sport automobile grâce à ses performances. Elle fut rapidement engagée dans diverses compétitions, en particulier dans les courses de tourisme et de côte. La version 3.4, en particulier, brilla sur les circuits.

Le plus célèbre des pilotes de Mk1 fut Mike Hawthorn, champion du monde de F1 en 1958. Il pilotait une Mk1 3.4 Litre modifiée pour un usage routier, mais aussi parfois pour des compétitions non officielles. Sa mort tragique en 1959 sur une route anglaise au volant de sa Mk1 contribua paradoxalement à renforcer l’aura de la voiture.

Un autre nom emblématique est celui de Tommy Sopwith, pilote et héritier de la société Sopwith Aviation. À la tête de l’écurie Equipe Endeavour, il engagea plusieurs Jaguar Mk1 3.4 dans des épreuves de tourisme, notamment dans le British Saloon Car Championship (BSCC).


Les Victoires et l’Héritage

La Jaguar Mk1 remporta plusieurs victoires notables dans les années 1950. Elle s’imposa notamment dans des courses comme Tourist Trophy ou Goodwood, battant des voitures pourtant plus légères et dédiées à la course. Sa supériorité venait de son moteur puissant, de sa robustesse et de son équilibre châssis-moteur.

Ces succès servirent de tremplin à la Jaguar Mk2, qui perfectionna le concept en devenant une véritable icône des années 1960. Mais c’est bien la Mk1 qui ouvrit la voie aux berlines sportives de luxe, une formule que Jaguar n’a cessé d’affiner depuis.


En résumé

La Jaguar Mk1 incarne une époque charnière de l’automobile britannique. Elle marie le raffinement classique à des innovations techniques audacieuses. Dans l’histoire de Jaguar, elle reste un symbole de transition : entre le passé artisanal et l’avenir industriel, entre l’élégance feutrée et la rage de vaincre sur piste. Grâce à ses performances, ses pilotes légendaires et ses lignes intemporelles, elle demeure une pièce majeure du patrimoine automobile mondial.

Illustration mixte dessin/palette graphique 86 x 97 cm

Philippe Lepape

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Alfa Romeo Giulietta Sprint Zagato Coda Tonda 1962 – illustration tableau


Alfa Romeo Giulietta Sprint Zagato Coda Tonda 1962

L’Alfa Romeo Giulietta Sprint Zagato Coda Tonda (SZ) de 1962 incarne l’essence de l’ingénierie italienne des années 1960. Cette voiture de sport légère, élégante et performante, a marqué son époque grâce à ses technologies innovantes, son design distinctif et son succès en compétition. Voici un aperçu détaillé de son histoire, de sa mécanique, de ses pilotes et de ses victoires.


Technologie et Design

La Giulietta Sprint Zagato SZ est née d’une collaboration entre Alfa Romeo et le célèbre carrossier Zagato. Ce modèle “Coda Tonda” (queue ronde) est une évolution de la version précédente, la “Coda Tronca” (queue tronquée). La Coda Tonda se distingue par une carrosserie plus arrondie et aérodynamique, optimisée pour réduire la traînée et améliorer la vitesse de pointe. Le design a été épuré pour maximiser les performances en course tout en conservant une esthétique unique.

  • Carrosserie en aluminium : L’utilisation de l’aluminium pour la carrosserie a permis de réduire considérablement le poids de la voiture, la rendant incroyablement légère avec un poids total avoisinant les 850 kg.
  • Aérodynamisme avancé : La forme de la Coda Tonda a été affinée grâce à des études aérodynamiques. Ces améliorations ont permis une meilleure stabilité à haute vitesse.
  • Châssis tubulaire : Basée sur la Giulietta Sprint de série, l’Alfa Romeo SZ a reçu un châssis renforcé et raccourci pour améliorer l’agilité et la maniabilité.

Mécanique et Performances

Sous le capot, la Giulietta SZ Coda Tonda était équipée d’un moteur quatre cylindres en ligne de 1290 cm³, un bijou d’ingénierie pour son époque. Ce moteur, dérivé de la Giulietta Sprint Veloce, a été modifié pour offrir plus de puissance et de performances.

  • Moteur : Le bloc en aluminium était équipé d’une double came en tête (double arbre à cames), une technologie avancée pour les années 1960. Il développait environ 100 chevaux à 6500 tr/min, ce qui était impressionnant pour un moteur aussi compact.
  • Transmission : La voiture utilisait une boîte manuelle à 5 rapports, permettant des changements de vitesse rapides et précis.
  • Suspension et Freins : La suspension indépendante à l’avant et l’essieu rigide à l’arrière, combinés à des freins à tambour performants, offraient une tenue de route exceptionnelle et une excellente réponse en virage.
  • Vitesse maximale : Grâce à son faible poids et à son aérodynamisme, la Giulietta SZ pouvait atteindre une vitesse de pointe de 200 km/h, ce qui en faisait une voiture redoutable dans les compétitions de l’époque.

Pilotes et Succès en Compétition

La Giulietta SZ Coda Tonda a été conçue principalement pour la course, et elle a rapidement trouvé sa place dans les compétitions internationales. Elle était particulièrement prisée par les pilotes privés et les petites écuries grâce à son équilibre entre performances, fiabilité et coûts relativement abordables.

  • Pilotes notables :
    • Roberto Bussinello : Ce pilote italien a contribué à la renommée de l’Alfa Romeo SZ en remportant plusieurs courses en catégorie GT.
    • Andrea de Adamich : Un autre pilote talentueux qui a exploité les capacités de la SZ dans des compétitions de haut niveau.
    • De nombreux pilotes amateurs ont également utilisé la SZ dans des compétitions locales et nationales.
  • Compétitions majeures :
    • Targa Florio : La Giulietta SZ a brillé dans cette course emblématique, grâce à son agilité dans les routes sinueuses de la Sicile.
    • Mille Miglia : Bien que cette course mythique ait été dominée par des voitures plus puissantes, la SZ a souvent performé dans les classes inférieures.
    • 24 Heures du Mans (catégorie GT) : La SZ a été engagée dans cette course d’endurance légendaire, prouvant sa fiabilité et sa résistance.
  • Succès en championnat : L’Alfa Romeo SZ a largement contribué aux victoires d’Alfa Romeo dans les catégories GT des championnats européens des années 1960.

L’Héritage de la Giulietta SZ

L’Alfa Romeo Giulietta Sprint Zagato Coda Tonda reste aujourd’hui une icône parmi les voitures de sport classiques. Son design intemporel, ses performances impressionnantes et son histoire dans le monde de la compétition en font une pièce de collection très recherchée. Les passionnés de voitures classiques considèrent la SZ comme un exemple parfait de la philosophie d’Alfa Romeo : “La beauté rencontre la performance”.En 2025, elle continue d’inspirer les amateurs d’automobiles et d’attirer l’attention lors de concours d’élégance et d’expositions. Avec seulement quelques centaines d’exemplaires produits, la Giulietta SZ est un véritable trésor de l’histoire automobile italienne.

Illustration mixte dessin/palette graphique 86 x 97 cm

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Ferrari 555 “Super Squalo” ‘1955–56 revisitée – art print tableau


Ferrari 555 F1 « Super Squalo » : L’évolution du squale rouge

La Ferrari 555 F1, surnommée « Super Squalo » (Super Requin), représente une transition cruciale dans l’histoire de la Scuderia Ferrari durant les années 1950. Conçue pour succéder à la 553 F1 dite « Squalo », cette monoplace fut l’aboutissement d’une recherche constante de performance, de maniabilité et de fiabilité dans un contexte de profonde mutation technique en Formule 1.

Une évolution technique ambitieuse

Apparue en 1955, la Ferrari 555 F1 repose sur les enseignements de sa devancière mais s’en distingue par de nombreuses améliorations techniques. Le châssis, un cadre tubulaire plus rigide et abaissé, offrait un meilleur comportement en courbe. La carrosserie affinée et plus basse, œuvre de Carrozzeria Scaglietti, lui donnait une allure plus fluide, tout en optimisant l’aérodynamisme – d’où son surnom « Super Squalo ».

Côté moteur, elle était équipée d’un bloc quatre cylindres en ligne de 2,5 litres – héritage du moteur conçu par Aurelio Lampredi. Ce moteur développait environ 260 chevaux à plus de 7 000 tours par minute, avec une courbe de puissance très linéaire. Il se distinguait par sa simplicité mécanique, sa robustesse, et sa capacité à encaisser de longs efforts, notamment sur les circuits rapides.

La boîte de vitesses à 5 rapports, montée transversalement à l’arrière, contribuait à une meilleure répartition des masses. Le système de suspension avant était à roues indépendantes avec double triangulation, tandis que l’arrière utilisait un pont de Dion, ce qui assurait une meilleure motricité. Les freins à tambours étaient encore de rigueur, bien qu’en voie d’être supplantés par les freins à disque.

Les pilotes de la Super Squalo

La Ferrari 555 fut confiée à plusieurs pilotes de renom, dont certains marquèrent l’histoire du sport automobile. Le principal fut Eugenio Castellotti, jeune espoir italien, dont la fougue et le talent étaient très appréciés par Enzo Ferrari. Il pilota la 555 dès 1955 et obtint plusieurs résultats prometteurs, malgré une rude concurrence venue notamment de Mercedes-Benz et Maserati.

D’autres pilotes notables au volant de la 555 incluent Umberto Maglioli, Mike Hawthorn et Maurice Trintignant, chacun ayant contribué au développement de la voiture en compétition. Hawthorn, futur champion du monde en 1958, fut impressionné par la tenue de route du modèle, bien qu’il reconnaissait ses limites face à la supériorité technologique croissante de ses rivales.

Résultats et victoires

Sur le plan des résultats, la Ferrari 555 F1 ne connut pas un palmarès aussi prestigieux que certaines de ses devancières ou successeures. Cependant, elle permit à Ferrari de rester compétitive dans une période de transition. Elle disputa des Grands Prix du Championnat du monde entre 1955 et 1956, dans un contexte difficile marqué par la domination des Mercedes W196.

Son meilleur résultat en championnat fut une troisième place obtenue par Eugenio Castellotti au Grand Prix de Monaco 1955 – une course difficile, où la maniabilité de la 555 fit la différence dans les rues étroites de la principauté. Elle remporta également plusieurs courses hors championnat, notamment des épreuves locales et internationales où la concurrence était moins féroce.

Malgré l’absence de victoire en championnat du monde, la Super Squalo joua un rôle important dans la transition technique de Ferrari vers les moteurs V6 et V8, amorcée avec la venue du jeune ingénieur Carlo Chiti à la fin des années 1950. Elle servit aussi de base à plusieurs évolutions techniques testées dans des courses secondaires, comme l’introduction progressive des freins à disque et de la suspension à double triangulation complète.

Héritage

Aujourd’hui, la Ferrari 555 Super Squalo est une pièce de collection très prisée. Elle symbolise une époque de la F1 où la mécanique, l’audace et le talent des pilotes étaient les seuls remparts face à l’adversité. Elle incarne aussi la volonté de Ferrari de toujours aller de l’avant, même dans les périodes de remise en question.

Le « Super Squalo » n’a peut-être pas régné sur les circuits, mais il reste une bête fascinante, témoin d’une époque où le rugissement des moteurs et la virtuosité des hommes s’unissaient pour écrire la légende.

Commandez dès maintenant votre impression et laissez-vous emporter par la magie de la Ferrari 555 “Super Squalo” ‘1955–56 revisitée improbable !

Tableau technique mixte dessin/palette graphique
Illustration numérique réalisée au format 80 x 116 cm, disponible en impression fine art toile, papier …

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Record de vitesse sur l’anneau – art print tableau

illustration art print 90 x 106 cm

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Mercedes 1914 pilote et mécano – art print tableau

Mercedes en 1914 : le triomphe avant la tempête

L’année 1914 marque un sommet dans l’histoire précoce du sport automobile, et Mercedes y joue un rôle de premier plan. Juste avant que la Première Guerre mondiale ne fige l’Europe, la firme allemande démontre l’étendue de sa supériorité technique et stratégique lors d’une des courses les plus mythiques de l’époque : le Grand Prix de l’Automobile Club de France, couru à Lyon. Ce fut une apothéose mécanique et humaine, une domination nette, et une démonstration de puissance allemande… dans tous les sens du terme.


Une technique de pointe : la Mercedes 18/100 Grand Prix

La voiture vedette de 1914 est la Mercedes 18/100 Grand Prix, un pur-sang taillé pour l’endurance et la performance. Elle a été conçue dans les ateliers de Daimler-Motoren-Gesellschaft (DMG) à Stuttgart, sous la direction du brillant ingénieur Paul Daimler, fils de Gottlieb Daimler, le pionnier de l’automobile.

Le moteur est un quatre cylindres en ligne de 4,5 litres, développant 106 chevaux à 3 100 tr/min – une puissance exceptionnelle pour l’époque. Le nom « 18/100 » fait référence à la puissance fiscale (18 CV) et à la puissance réelle (100 chevaux).

Elle se distingue par des innovations techniques significatives :

  • Soupapes en tête : une rareté à l’époque, permettant une meilleure respiration du moteur.
  • Refroidissement à eau avec une pompe et un grand radiateur vertical, garantissant une température stable même sur les longues courses.
  • Boîte manuelle à 4 rapports, montée en bloc avec l’embrayage, pour plus de fiabilité.
  • Châssis léger mais robuste, combinant rigidité et souplesse sur les routes accidentées.
  • Freins à tambours uniquement à l’arrière, mais efficaces pour les standards de 1914.

Les voitures étaient construites avec une rigueur industrielle impressionnante, ce qui tranchait avec certaines productions artisanales de l’époque.


Les pilotes : la fine fleur européenne

Pour affronter le Grand Prix de France 1914, Mercedes engage une équipe de pilotes internationaux, tous parmi les meilleurs du moment.

  • Christian Lautenschlager : ouvrier devenu pilote d’usine chez Mercedes, déjà vainqueur du Grand Prix de France en 1908, il est discret, calme et redoutablement efficace.
  • Louis Wagner : pilote français engagé par Mercedes, connu pour sa bravoure et sa finesse technique.
  • Otto Salzer : expérimenté, fiable, ancien motard devenu pilote de voitures de course.
  • Max Sailer : jeune talent, très rapide mais parfois trop fougueux.
  • Theodor Pilette : pilote belge, également engagé pour renforcer l’équipe.

La composition internationale de l’équipe symbolisait encore un monde où la compétition transcendait les nationalités — juste avant que la guerre ne fracture cette unité.


La victoire de Lyon : domination totale

Le Grand Prix de l’Automobile Club de France 1914, organisé sur un circuit routier de 37,6 km à Lyon, est considéré comme l’un des plus importants de l’histoire. Il réunit les plus grandes marques : Peugeot, Delage, Fiat, Sunbeam et Mercedes.

La course s’étale sur 20 tours, soit plus de 750 kilomètres, sur des routes poussiéreuses, parsemées de virages dangereux, de pentes et de cailloux. Les Mercedes dominent dès les premiers tours grâce à leur endurance, leur fiabilité et leur faible consommation.

Christian Lautenschlager remporte la victoire en 7h 08min 18s, devant ses coéquipiers Louis Wagner et Otto Salzer. Triplé historique pour Mercedes : une humiliation pour Peugeot, pourtant favorite avec ses moteurs à double arbre à cames.

Cette victoire fut vécue en Allemagne comme un triomphe technologique national, tandis que les tensions politiques s’envenimaient en Europe. À peine quelques semaines plus tard, la guerre éclatait, mettant fin aux compétitions automobiles jusqu’en 1919.


Un héritage durable

La victoire de Mercedes en 1914 reste une des plus emblématiques de l’ère pré-guerre. Elle symbolise l’aboutissement d’une décennie de progrès techniques fulgurants. C’est aussi la dernière grande compétition internationale avant que l’Europe ne sombre dans la guerre.

L’héritage de cette victoire est double : d’une part, une démonstration éclatante de la supériorité industrielle allemande ; d’autre part, un souvenir poignant d’une époque où l’automobile était synonyme de passion, de bravoure, et de génie mécanique.

illustration art print 82 x 116 cm

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Pilote et mécano sur la piste – art print tableau

illustration art print 97 x 97 cm

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Delahaye 135 S revisitée – art print tableau

illustration art print 97 x 97 cm

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