



Maserati et mécanos
80 x 115 cm
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Art et sports mécaniques - Illustration et photographie
Ferrari est une marque automobile italienne légendaire, connue pour ses voitures de sport de haute performance. Depuis sa création en 1947, Ferrari a été fortement impliquée dans les compétitions automobiles, remportant de nombreuses victoires et de nombreux championnats.
Ferrari a été impliquée dans presque toutes les formes de compétitions automobiles, notamment la Formule 1, les courses de voitures de sport, les courses de rallye et les courses de voitures de tourisme. En Formule 1, Ferrari est la plus ancienne équipe et la plus titrée de l’histoire, avec 16 titres des constructeurs et 15 titres des pilotes, remportés avec des légendes de la course automobile telles que Juan Manuel Fangio, Michael Schumacher et Niki Lauda.
Ferrari a également été très active dans les courses de voitures de sport, remportant de nombreuses victoires aux 24 heures du Mans, aux 12 heures de Sebring, aux 24 heures de Daytona et dans d’autres compétitions de voitures de sport. La Ferrari 250 GTO est considérée comme l’une des voitures de course les plus emblématiques de l’histoire de la compétition automobile.
Aujourd’hui, Ferrari continue d’être un leader dans le monde de la course automobile, avec une forte présence en Formule 1 et dans les courses de voitures de sport. La marque continue également à innover, en introduisant des technologies de pointe dans ses voitures de course et de sport, telles que la transmission intégrale et les moteurs hybrides. La Ferrari LaFerrari est un exemple de cette technologie, avec un système hybride qui augmente la puissance tout en réduisant les émissions.
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“À partir d’une ou de photos d’archive, auteur inconnu. Mise en couleur et transformation artistique par Philippe Lepape » NB : Les images dont je m’inspire sont anciennes et je ne dispose pas des noms des ayants droits je retirerai mes images de mon site sur simple demande.
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À travers cette œuvre délicate et immersive, le spectateur est plongé dans l’univers nostalgique des courses automobiles des années 50, un soir de pluie. Tout dans cette scène évoque une époque révolue, celle où la course était une aventure brute, à la merci du climat, de la mécanique, et du courage des pilotes.
Le circuit est mouillé, illuminé de reflets incandescents. Des flaques se forment dans les creux du bitume, les phares des voitures projettent des halos dans la brume, et les silhouettes mécaniques des véhicules se découpent sous une lumière artificielle, presque théâtrale. On ne voit pas de foule ni de cris : seulement le calme tendu de l’instant, la concentration, et la beauté silencieuse d’un moment suspendu.
L’ambiance visuelle de cette illustration est dominée par des tons froids et humides : gris bleuté, reflets métalliques, contrastes doux entre l’éclairage chaud des phares et la fraîcheur de la piste. Ce jeu de lumière révèle les volumes, souligne la forme arrondie des carrosseries d’époque, et donne vie à chaque goutte, chaque éclat, chaque reflet.
On sent que chaque élément a été pensé : l’humidité qui luit sur les capots, la texture du bitume, les projections d’eau, les silhouettes de spectateurs lointains ou d’équipes techniques floues, à peine visibles. Le réalisme est là, mais toujours mis au service d’une atmosphère poétique, presque cinématographique.
Les années 50 ont vu naître une forme de course où tout était encore possible : circuits non aseptisés, routes étroites, météo imprévisible, sécurité rudimentaire. Mais c’est précisément cette époque qui a forgé la légende du sport automobile. En représentant un moment aussi particulier — une nuit pluvieuse, peut-être après une manche, peut-être juste avant le départ — vous rendez hommage à ces pilotes et mécaniciens de l’ombre, confrontés autant à la piste qu’aux éléments.
Il ne s’agit pas ici de vitesse ou de victoire, mais de présence. Celle d’une voiture sur la piste, de quelques hommes autour, dans un instant de calme où tout est encore possible. Le murmure de la pluie se mêle au souffle du moteur, et cette immobilité contenue raconte autant que la course elle-même.
Le charme de cette illustration réside dans sa capacité à évoquer, plus qu’à montrer. Chacun peut y projeter sa propre histoire : un spectateur à Reims-Gueux, un jeune mécano au Mans, un enfant fasciné au bord des rails… La pluie, le soir, la lumière et la solitude des voitures parlent à quelque chose de profondément humain.
On imagine le bruit sourd des gouttes sur la tôle, le crissement des pneus sur la piste détrempée, le halo jaune des lampadaires. On sent la tension dans l’air, mais aussi une forme de sérénité. Ce tableau n’est pas seulement une image de sport automobile : c’est une œuvre de mémoire et de sensation.
En choisissant d’illustrer ce moment-là — ni l’action pure, ni l’euphorie de la victoire — vous proposez un regard différent sur l’automobile : contemplatif, sensible, presque méditatif. C’est une approche rare, qui séduira autant les amateurs de sport mécanique que les passionnés d’art et de récits visuels.
Cette scène nocturne, intemporelle, a le pouvoir de ralentir le regard. Elle capte ce que la photo ne pourrait qu’effleurer : l’atmosphère. Et c’est là toute la force de votre œuvre.
Tableau technique mixte dessin/palette graphique
Illustration numérique réalisée au format 87 x 120 environ cm, disponible en impression fine art toile, papier et autres dimensions…
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Départ Grand Prix de Formule 1 dans les années 60 – art print tableau
Tableau technique mixte dessin/palette graphique
Illustration numérique réalisée au format 87 x 120 environ cm, disponible en impression fine art toile, papier et autres dimensions…
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Ferrari au stand dans les années 50
Tableau technique mixte dessin/palette graphique
Illustration numérique réalisée au format 87 x 120 environ cm, disponible en impression fine art toile, papier et autres dimensions…
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80 x 115 cm
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80 x 115 cm
Au milieu des années 1950, Maserati est à un tournant crucial. Après une décennie de hauts et de bas en compétition, la firme de Modène, fondée par les frères Maserati, ambitionne de rivaliser avec Ferrari, Mercedes-Benz et Jaguar sur la scène internationale. De cette ambition naît l’une de ses voitures les plus mythiques : la Maserati 300S.
La genèse de la Maserati 300S remonte à la fin de 1954. Maserati, après avoir exploité la 250F en Formule 1 avec un certain succès, souhaite développer une voiture destinée à la catégorie Sport – un segment prestigieux du Championnat du Monde des Voitures de Sport. Les règlements de cette série imposent des moteurs de trois litres de cylindrée maximale, ce qui pousse Maserati à créer un véhicule sur cette base.
Giulio Alfieri, brillant ingénieur italien, est chargé du développement. Plutôt que de repartir de zéro, il adapte le moteur six cylindres en ligne de la 250F – moteur à double arbre à cames en tête, reconnu pour sa souplesse et sa puissance. Ainsi, naît le cœur de la 300S : un 3.0 litres atmosphérique, délivrant environ 245 chevaux, logé dans un châssis tubulaire habillé d’une élégante carrosserie en aluminium façonnée à la main, initialement par Medardo Fantuzzi.
La 300S est un chef-d’œuvre d’ingénierie. Son moteur six cylindres en ligne de 2992 cm³, alimenté par trois carburateurs Weber, se montre à la fois fiable et puissant. Le châssis, basé sur celui de la 250F, est renforcé pour supporter les rigueurs de l’endurance.
Les suspensions avant sont à roues indépendantes, tandis qu’à l’arrière, on retrouve un pont De Dion – solution choisie pour améliorer la tenue de route sans sacrifier la motricité. La boîte de vitesses manuelle à quatre rapports est positionnée à l’arrière pour une meilleure répartition des masses. L’ensemble est capable d’atteindre près de 270 km/h, ce qui, pour l’époque, est remarquable.
Outre ses qualités mécaniques, la 300S séduit aussi par son design. Élancée, équilibrée, elle incarne la grâce italienne sur quatre roues, tout en restant une véritable machine de course.
La Maserati 300S attire rapidement certains des plus grands pilotes de l’époque. Juan Manuel Fangio, quintuple champion du monde de F1, est l’un de ses plus célèbres défenseurs. Il dira de la 300S qu’elle est l’une des meilleures voitures de sport qu’il ait conduites. Son équilibre, sa précision et sa puissance en font une voiture très appréciée.
À ses côtés, on retrouve des noms prestigieux : Stirling Moss, Jean Behra, Carroll Shelby, Masten Gregory, Luigi Musso et bien d’autres encore. Tous participent à forger le palmarès et la légende de cette Maserati d’exception.
La Maserati 300S est alignée dans de nombreuses courses du championnat mondial. Bien qu’elle ne remporte jamais les 24 Heures du Mans – souvent victime de problèmes mécaniques ou de circonstances de course – elle brille ailleurs.
En 1956, la 300S offre à Maserati sa meilleure saison. Elle remporte notamment :
Au total, Maserati termine 2e du Championnat du Monde des Voitures de Sport en 1956, juste derrière Ferrari. La 300S s’impose ainsi comme une véritable rivale des 750 Monza, 860 Monza et D-Type Jaguar.
La 300S représente un sommet pour Maserati en sport automobile. Malgré ses succès, Maserati commence à sentir la pression financière. En 1957, une série d’accidents et des coûts croissants poussent la marque à se retirer de la compétition officielle en fin d’année.
Mais la 300S continue à courir entre les mains de privés, notamment en Amérique du Sud et du Nord. Elle devient une voiture de collection très recherchée. Produite à seulement 26 exemplaires, elle est aujourd’hui l’une des Maserati les plus prisées, tant pour sa beauté que pour sa rareté.
Son influence se prolonge au travers de ses descendantes, notamment la Birdcage (Tipo 61), avec laquelle Maserati poursuivra, en marge, sa quête de performance.
La Maserati 300S symbolise une époque où l’élégance n’était jamais dissociée de la performance. Née d’un projet ambitieux, conçue par un génie de l’ingénierie, conduite par des légendes, victorieuse sur les circuits les plus prestigieux, elle reste un joyau de l’histoire du sport automobile.
Elle incarne le génie italien dans sa forme la plus pure : audace, beauté, et passion mécanique. Une voiture faite pour courir, mais aussi pour faire rêver.
Tirage en impression à l’unité de qualité exposition sur papier Hahnemülhe 200 gr.
Encadrement possible et autre format sur demande.
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Ferrari dans les champs
Tableau technique mixte dessin/palette graphique
Illustration numérique réalisée au format 80 x 120 environ cm, disponible en impression fine art toile, papier et autres dimensions…
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Pourquoi, jusque dans les années 1950, faire les niveaux en compétition automobile était-il le travail des mécaniciens ?
Au cours de la première moitié du XXe siècle, la compétition automobile était un monde bien différent de celui que nous connaissons aujourd’hui. Les voitures de course étaient des machines mécaniques rudimentaires comparées aux bolides ultra-technologiques contemporains. À cette époque, chaque détail de la préparation mécanique jouait un rôle crucial dans la performance — voire la survie — du véhicule durant une épreuve. Parmi ces tâches fondamentales figurait le contrôle des « niveaux » : huile moteur, liquide de refroidissement, liquide de frein, carburant, etc. Jusqu’aux années 1950, cette responsabilité incombait presque exclusivement aux mécaniciens. Mais pourquoi ? Plusieurs raisons techniques, humaines et historiques expliquent cette répartition des tâches.
Au début de l’histoire automobile, les véhicules étaient très peu standardisés. Chaque constructeur avait ses propres systèmes, et parfois même, chaque voiture était une pièce unique. Cela impliquait une connaissance très précise du fonctionnement de chaque engin. Contrôler les niveaux n’était pas aussi simple qu’ouvrir un capot et consulter une jauge. Il fallait souvent démonter des éléments, comprendre les circuits spécifiques de lubrification ou de refroidissement, et avoir une intuition mécanique développée pour détecter un problème potentiel.
Les mécaniciens, souvent formés « sur le tas », avaient cette connaissance intime de la voiture, acquise à force d’heures passées à l’assembler ou à la réparer. Ce savoir-faire les rendait indispensables pour toute intervention technique, même aussi basique en apparence que le contrôle des niveaux. En course, une négligence pouvait mener à une casse moteur, un freinage défectueux ou une surchauffe, avec des conséquences parfois dramatiques.
À cette époque, les équipes de course étaient bien moins hiérarchisées et spécialisées qu’aujourd’hui. Il n’y avait pas de division nette entre ingénieurs, techniciens, analystes de données, stratèges et mécaniciens. Le mécano était l’homme à tout faire. Il s’occupait aussi bien du transport de la voiture, du montage du moteur, du réglage des suspensions, que du plein d’huile ou d’eau. Faire les niveaux faisait partie de cette routine générale, et relevait du bon sens : qui mieux que celui qui avait mis le moteur en place pouvait s’assurer qu’il était prêt à fonctionner dans les meilleures conditions ?
De plus, les pilotes eux-mêmes venaient souvent d’un milieu technique ou mécanique. Beaucoup étaient d’anciens mécaniciens, garagistes ou même chauffeurs. Toutefois, une fois au volant, leur rôle était celui de la performance, de la conduite pure. Tout le reste — y compris la fiabilité de la machine — était confié à l’équipe technique.
Les voitures de course d’avant les années 1950 étaient peu fiables par nature. L’usure des pièces était rapide, les températures montaient très haut, et les lubrifiants perdaient vite leurs propriétés. Il n’était pas rare qu’une voiture doive être entièrement révisée après chaque course, voire entre les différentes étapes d’une même épreuve (comme dans les rallyes ou les 24 Heures du Mans). Le simple fait de vérifier le niveau d’huile ou de liquide de refroidissement pouvait révéler une fuite, une consommation excessive, ou même un début de casse moteur.
Ainsi, ces vérifications étaient prises très au sérieux, et requéraient une attention méticuleuse. Le mécano ne se contentait pas de « faire l’appoint » : il évaluait l’état général du véhicule à travers ces contrôles. Il lisait les symptômes d’un moteur en difficulté, ce qui allait bien au-delà d’un simple geste technique.
Aujourd’hui, les voitures de course sont équipées de capteurs connectés en temps réel à des systèmes de télémétrie. Une baisse de pression d’huile ou une surchauffe est détectée instantanément et transmise aux ingénieurs via des ordinateurs. Dans les années 50, tout cela n’existait pas. La seule façon de connaître l’état du véhicule était d’ouvrir, d’observer, de toucher, de sentir — parfois même de goûter l’huile pour en déceler une surchauffe (ce que certains mécanos faisaient réellement !).
Il fallait des mains expérimentées pour cette approche artisanale, presque sensorielle de la mécanique. Faire les niveaux n’était donc pas une tâche simple ou déléguée à un assistant. C’était un acte de diagnostic.
À partir des années 1950 et surtout dans les décennies suivantes, l’essor de l’ingénierie automobile, l’apparition des premiers instruments de mesure embarqués, et la complexification des voitures ont modifié les rôles au sein des écuries. Les équipes ont commencé à se structurer. L’arrivée de nouveaux métiers — ingénieur performance, chef de stratégie, etc. — a changé la dynamique. Les pilotes se sont éloignés de la technique, tandis que les mécaniciens se sont spécialisés dans certains domaines.
Le contrôle des niveaux, autrefois central, est devenu un point de routine parmi d’autres dans une chaîne d’opérations bien huilée. Mais cette tâche, apparemment anodine, fut pendant longtemps l’un des gestes les plus critiques de la course automobile. Et elle était réservée aux mains les plus expertes.
En résumé
Jusqu’aux années 1950, faire les niveaux en compétition automobile n’était pas une tâche mineure. Elle incarnait à la fois la maîtrise technique, l’intuition mécanique et la responsabilité directe des mécaniciens dans la survie de la machine. C’était une époque où la mécanique n’était pas encore assistée par l’électronique, et où chaque goutte d’huile pouvait faire la différence entre la victoire et l’abandon. En ce sens, les mécaniciens étaient bien plus que des techniciens : ils étaient les gardiens silencieux de la performance.
Tableau technique mixte dessin/palette graphique
Illustration numérique réalisée au format 97 x 97 cm, disponible en impression fine art toile, papier et autres dimensions…
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