Art et sports mécaniques - Illustration et photographie

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Ferrari est une marque automobile italienne légendaire, connue pour ses voitures de sport de haute performance. Depuis sa création en 1947, Ferrari a été fortement impliquée dans les compétitions automobiles, remportant de nombreuses victoires et de nombreux championnats.

Ferrari a été impliquée dans presque toutes les formes de compétitions automobiles, notamment la Formule 1, les courses de voitures de sport, les courses de rallye et les courses de voitures de tourisme. En Formule 1, Ferrari est la plus ancienne équipe et la plus titrée de l’histoire, avec 16 titres des constructeurs et 15 titres des pilotes, remportés avec des légendes de la course automobile telles que Juan Manuel Fangio, Michael Schumacher et Niki Lauda.

Ferrari a également été très active dans les courses de voitures de sport, remportant de nombreuses victoires aux 24 heures du Mans, aux 12 heures de Sebring, aux 24 heures de Daytona et dans d’autres compétitions de voitures de sport. La Ferrari 250 GTO est considérée comme l’une des voitures de course les plus emblématiques de l’histoire de la compétition automobile.

Aujourd’hui, Ferrari continue d’être un leader dans le monde de la course automobile, avec une forte présence en Formule 1 et dans les courses de voitures de sport. La marque continue également à innover, en introduisant des technologies de pointe dans ses voitures de course et de sport, telles que la transmission intégrale et les moteurs hybrides. La Ferrari LaFerrari est un exemple de cette technologie, avec un système hybride qui augmente la puissance tout en réduisant les émissions.

Ferrari 156 et Lotus 18 en duel – lavis encre de Chine aquarelle

En 1961, si on parle d’un duel entre une Ferrari 156 “Sharknose” et une Lotus 18, on se situe en plein dans la saison de transition vers la nouvelle réglementation 1,5 litre en Formule 1.
Voici les points clés pour départager :


1. Ferrari 156 “Sharknose” (1961)

  • Moteur : V6 à 120° de 1,5 L (~190 ch en fin de saison)
  • Châssis : tubulaire, conception encore traditionnelle mais très équilibrée
  • Avantages : moteur puissant, très bon couple, fiabilité exemplaire, maniabilité correcte
  • Inconvénients : un peu plus lourde que la Lotus, moins agile dans les virages très serrés
  • Résultats : dominatrice en 1961, surtout sur circuits rapides comme Spa, Monza ou Reims. Phil Hill et von Trips étaient imprenables sur les lignes droites.

2. Lotus 18 (1960–1961)

  • Moteur : souvent Climax FPF 1,5 L (~150–160 ch dans la config 1961 F1)
  • Châssis : premier châssis arrière-moteur de Lotus en F1, structure légère
  • Avantages : extrême agilité dans les circuits sinueux, poids plume, faible inertie
  • Inconvénients : moins de puissance moteur, fragilité mécanique, vitesse de pointe inférieure
  • Résultats : encore compétitive en 1961, surtout sur circuits techniques (Monaco, Nürburgring), mais dépassée par la 156 en vitesse pure.

Verdict :

  • Circuit rapideFerrari 156 gagne presque à coup sûr grâce à sa puissance et sa stabilité à haute vitesse.
  • Circuit très sinueux et techniqueLotus 18 pourrait surprendre si le pilote est incisif (type Stirling Moss à Monaco 1961).
  • Sur l’ensemble d’une saison 1961 → La Ferrari 156 est la plus victorieuse, championne du monde. La Lotus 18 n’a battu la Ferrari que dans des circonstances favorables (ex. Monaco 1961, Moss en chef d’orchestre).

En duel pur sur terrain neutre, même si la Lotus est plus agile, la Ferrari 156 serait statistiquement la gagnante, sauf si on est sur un tracé où la puissance compte peu.

🔹 Fiche technique comparée

CaractéristiqueFerrari 156Lotus 18
Année19611960-1961
MoteurV6 à 120° Ferrari Tipo 1564 cyl. en ligne Climax FPF
Cylindrée1 476 cm³1 475 cm³
Puissance max~190 ch à 9 500 tr/min~150-160 ch à 7 500 tr/min
Poids~450 kg~455 kg (châssis F1)
Rapport poids/puissance2,37 kg/ch2,84–3,03 kg/ch
Vitesse max~280 km/h~250–255 km/h
Accélération (0-200 km/h)~11,5 s~13,0 s
Disposition moteurCentral-arrière longitudinalCentral-arrière longitudinal
Avantage principalPuissance, vitesse de pointeAgilité, freinage
Faiblesse principaleMoins agile sur petits tracésManque de puissance et de vitesse

📊 Analyse chiffrée :

  • Rapport poids/puissance → la Ferrari a environ 20 % de meilleur rendement, ce qui se traduit en vitesse et accélération supérieures.
  • Vitesse de pointe → +25 à +30 km/h en faveur de la Ferrari sur longs bouts droits.
  • Agilité → la Lotus 18 compense sur circuits urbains ou sinueux grâce à un centre de gravité bas et une direction vive.

🏁 Conclusion chiffrée :
Sur un circuit type Spa ou Monza, la Ferrari 156 creuse l’écart très vite.
Sur Monaco ou le Nürburgring sud (très technique), la Lotus 18 peut rester au contact — et avec Stirling Moss, elle peut même gagner (Monaco 1961 en est la preuve).
Mais en duel pur sur un tracé équilibré, la Ferrari a environ 1,5 à 2 secondes au tour d’avance à conditions égales.

Illustration Ferrari 156 et Lotus 18 en duel lavis encre de Chine tableau 50 x 65 cm – librement inspirée de plusieurs photos vue dans des journaux.

Philippe Lepape

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Ferrari 312 1969 – art print tableau


Tableau technique mixte dessin/palette graphique
Illustration numérique réalisée au format 80 x 120 cm environ, disponible en impression fine art toile, papier et autres dimensions…

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Fangio – art print


Juan Manuel Fangio : Le Maestro des Circuits

illustration 80 x 110 technique mixye dessin/palette graphique

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Ferrari 250 GTO 1962 – art print tableau


Tableau technique mixte dessin/palette graphique
Illustration numérique réalisée au format 90 x 100 cm environ, disponible en impression fine art toile, papier et autres dimensions…

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Denise McCluggage femme pilote automobile journaliste – art print

Illustration Denise McCluggage femme pilote automobile journaliste – art print 80 x 120 cm technique mixte dessin/palette graphique façon gouache

Denise McCluggage : pionnière sur la piste et dans la presse

Denise McCluggage (1927–2015) est une figure emblématique du sport automobile et du journalisme, connue pour avoir brisé les barrières de genre dans deux domaines traditionnellement masculins. Née à El Dorado, Kansas, elle découvre très tôt une passion pour la vitesse. Elle débute sa carrière en tant que journaliste sportive au New York Herald Tribune, à une époque où les femmes étaient rares dans les salles de rédaction et encore plus sur les circuits de course.

C’est dans les années 1950 que McCluggage se fait remarquer en tant que pilote. Elle commence à courir avec une MG TC, puis progresse rapidement vers des voitures plus puissantes, comme la Ferrari 250 GT, la Porsche 550 Spyder ou encore la Maserati. Denise participe à de nombreuses courses emblématiques, notamment les 12 Heures de Sebring, les Mille Miglia en Italie, la Targa Florio et le Grand Prix de Monte-Carlo.

Son palmarès est impressionnant : en 1961, elle remporte la catégorie GT aux 12 Heures de Sebring avec une Ferrari 250 GT. Elle est également l’une des rares femmes à avoir couru dans des compétitions internationales aux côtés des plus grands pilotes de son époque, comme Stirling Moss ou Phil Hill. Connue pour sa conduite fluide, intelligente et déterminée, elle gagnait le respect de ses concurrents par son talent plutôt que par sa singularité.

Mais Denise ne se limitait pas à la course. Son regard aiguisé et son talent d’écriture font d’elle une journaliste automobile influente. Elle fonde en 1958 le magazine Competition Press, devenu par la suite AutoWeek, où elle contribue pendant des décennies. Elle mêlait récits personnels, réflexions philosophiques sur la conduite et analyses techniques, toujours avec élégance et profondeur.

Au fil de sa carrière, Denise McCluggage reçoit de nombreuses distinctions, dont l’intronisation au Automotive Hall of Fame en 2001 et au Sports Car Club of America Hall of Fame. Elle est également l’auteure de plusieurs ouvrages, dont Bylines, une compilation de ses écrits les plus marquants.

Denise McCluggage a ouvert la voie à des générations de femmes dans le sport automobile et le journalisme. Son héritage perdure, non seulement comme pilote d’exception, mais aussi comme une voix unique et respectée dans l’univers de la course.

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Ferrari 250 GTO 1962 – art print tableau


Tableau technique mixte dessin/palette graphique
Illustration numérique réalisée au format 80 x 117 cm environ, disponible en impression fine art toile, papier et autres dimensions…

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Ferrari 268 P au village – art print tableau


Tableau technique mixte dessin/palette graphique
Illustration numérique réalisée au format 65 x 125 cm environ, disponible en impression fine art toile, papier et autres dimensions…

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Ferrari 268 P – art print tableau


Tableau technique mixte dessin/palette graphique
Illustration numérique réalisée au format 65 x 125 cm environ, disponible en impression fine art toile, papier et autres dimensions…

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Ferrari 250 GTO 1962 – art print tableau


Tableau technique mixte dessin/palette graphique
Illustration numérique réalisée au format 97 x 97 cm environ, disponible en impression fine art toile, papier et autres dimensions…

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Ferrari 275 et Surtees 1964 – art print tableau


Tableau technique mixte dessin/palette graphique
Illustration numérique réalisée au format 81 x 118 cm environ, disponible en impression fine art toile, papier et autres dimensions…

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Ferrari 275P : la reine de l’endurance

La Ferrari 275P est une légende de la compétition automobile des années 1960. Conçue spécifiquement pour les courses d’endurance, elle a marqué l’histoire de Ferrari par ses victoires éclatantes, notamment aux 24 Heures du Mans. Avec son moteur V12 central, son châssis léger, une carrosserie sculptée pour la performance et pilotée par des légendes du volant, la 275P est une des représentantes les plus emblématiques de la domination Ferrari en endurance durant cette décennie.


Genèse et contexte

La 275P apparaît en 1963, dans un contexte de forte rivalité entre Ferrari, Porsche, Ford et Aston Martin sur les circuits d’endurance. Ferrari domine alors le championnat du monde des voitures de sport, et la 275P est conçue pour succéder à la 250P, première Ferrari à moteur central arrière. L’objectif est clair : améliorer puissance, tenue de route et fiabilité pour viser la victoire dans les épreuves mythiques du calendrier.


Moteur : le cœur V12 Ferrari

Au centre de la 275P, on trouve un chef-d’œuvre mécanique : le V12 atmosphérique à 60°, conçu par Gioachino Colombo. Dérivé du bloc de la 250P mais réalésé, ce moteur de 3,3 litres (3 286 cm³) produit environ 320 chevaux à 7 500 tr/min. Il est alimenté par six carburateurs Weber double corps et accouplé à une boîte manuelle à 5 rapports.

Le moteur est monté en position centrale arrière, une configuration alors encore récente pour Ferrari, qui améliore considérablement la répartition des masses et donc la maniabilité à haute vitesse. Cette architecture permet aussi un meilleur refroidissement et une aérodynamique plus soignée.

Ce V12 se distingue par sa souplesse, son allonge et surtout sa fiabilité — essentielle pour les courses de 12 ou 24 heures. Il permet à la 275P d’atteindre une vitesse de pointe d’environ 280 km/h, ce qui en faisait une des voitures les plus rapides de sa catégorie.


Châssis et carrosserie : beauté fonctionnelle

Le châssis de la 275P est une structure tubulaire en acier, légère mais rigide. Il reprend les principes de la 250P, avec quelques modifications pour s’adapter au moteur plus gros. La carrosserie en aluminium est signée Carrozzeria Scaglietti, fidèle partenaire de Ferrari. Elle est fine, élancée, conçue pour optimiser le flux d’air et la stabilité à haute vitesse.

La ligne est basse, fluide, avec une grande prise d’air à l’avant, des phares carénés et un cockpit ouvert avec pare-brise enveloppant. À l’arrière, les flancs s’élargissent pour couvrir les roues motrices, et l’échappement ressort en doubles sorties latérales typiques des prototypes Ferrari de cette époque.

Le design de la 275P est à la fois agressif et élégant, combinant efficacité aérodynamique et esthétique italienne raffinée. Chaque courbe est pensée pour la performance, mais sans jamais renier le style.


Pilotes : l’élite au volant

La 275P a été confiée à certains des plus grands pilotes de l’histoire, tous issus du cercle restreint de la Scuderia Ferrari. Parmi eux :

  • Lorenzo Bandini, pilote italien talentueux, brillant dans les courses longues et exigeantes.
  • Jean Guichet, gentleman driver français très expérimenté et fiable.
  • Mike Parkes, ingénieur-pilote britannique connu pour ses qualités techniques et son élégance au volant.
  • Umberto Maglioli, vétéran des Mille Miglia et des Targa Florio.

Ces hommes formaient des duos ou trios complémentaires, mêlant vitesse pure et endurance mentale. Ils ont su exploiter tout le potentiel de la 275P dans les conditions les plus difficiles.


Victoire historique au Mans et ailleurs

La 275P entre dans l’histoire le 21 juin 1964, en remportant les 24 Heures du Mans. L’équipage Guichet / Vaccarella domine la course face à la concurrence de Ford et Porsche, parcourant 4 695 kilomètres à une vitesse moyenne de 196 km/h. C’est la cinquième victoire consécutive de Ferrari au Mans, et un triomphe pour la 275P, qui montre une fiabilité impressionnante, une consommation maîtrisée et une tenue de route exceptionnelle.

La même année, la voiture remporte aussi les 12 Heures de Reims, et brille dans des épreuves comme Sebring ou la Targa Florio, souvent modifiée en fonction du circuit (aéro, rapports, suspensions).

La 275P participe également au Championnat du Monde des Voitures de Sport, contribuant à l’obtention du titre constructeur pour Ferrari en 1964.


Un héritage immortel

La Ferrari 275P n’a été produite qu’à deux ou trois exemplaires officiels, ce qui en fait aujourd’hui un véhicule rarissime. Elle a laissé une empreinte indélébile dans l’histoire de la compétition automobile, à la fois par son palmarès et par l’élégance de son concept.

C’est aussi une machine de transition : entre les Ferrari “classiques” à moteur avant, et les prototypes plus modernes comme la 330P et la 512S. La 275P incarne cette époque de raffinement mécanique, où performance, style et passion allaient de pair.

Aujourd’hui, les exemplaires survivants valent plusieurs dizaines de millions d’euros. Lorsqu’elle réapparaît dans les grands rassemblements historiques comme le Le Mans Classic, elle suscite à chaque fois l’admiration.


En résumé

La Ferrari 275P est bien plus qu’une voiture de course : c’est une œuvre d’art mécanique, une vitrine du savoir-faire de Ferrari en matière de châssis, moteur et design. Elle représente une époque d’or, où l’endurance était un défi héroïque, et où les voitures incarnaient la passion pure de la vitesse et de l’élégance.

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