



Illustration mixte dessin/palette graphique 97 x 97 cm
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Art et sports mécaniques - Illustration et photographie
Illustration mixte dessin/palette graphique 97 x 97 cm
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Jaguar XK 120
Illustration mixte dessin/palette graphique 90 x 105 cm
Philippe Lepape
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Ne manquez pas l’occasion de posséder une œuvre qui capture l’essence même de la vitesse et de la passion automobile.
Commandez dès maintenant votre impression et laissez-vous emporter par la magie d’Asccari et sa Ferrari !
Tableau technique mixte dessin/palette graphique
Illustration numérique réalisée au format 70 x 120 cm, disponible en impression fine art toile, papier …
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Prendre le volant d’une Ford GT40 sur route ouverte, c’est comme faire décoller un avion de chasse sur une piste municipale. Conçue pour dominer les 24 Heures du Mans dans les années 1960, cette machine de course n’a jamais été pensée pour les trajets du quotidien. Et pourtant, certains propriétaires audacieux l’osent. Ce n’est ni pratique, ni confortable — mais c’est inoubliable.
Dès que l’on s’en approche, la GT40 impose le respect. Haute de seulement 1,04 mètre (d’où son nom : 40 pouces), elle semble taillée au ras du sol, prête à fendre l’air. Le moteur — un V8 Ford de 4,7 ou 7 litres selon la version — trône juste derrière les sièges, séparé du conducteur par une mince cloison d’aluminium.
L’intérieur est spartiate, étroit, chaud et bruyant. Le pédalier est décalé vers la droite, les commandes sont dures, la visibilité est réduite. Mais dès que le contact est mis et que le moteur s’ébroue dans un rugissement métallique, tout le reste disparaît : vous êtes à bord d’une légende.
Sur route ouverte, la GT40 montre rapidement son caractère. Le moteur V8, gavé de couple, pousse avec une brutalité difficile à traduire en mots. Même à bas régime, chaque pression sur l’accélérateur envoie la voiture vers l’avant avec une rage féroce. La boîte ZF manuelle demande de la précision, mais chaque rapport passé est une satisfaction mécanique.
La direction, non assistée, est lourde à basse vitesse mais incroyablement directe dès que l’allure augmente. Le freinage est puissant, à condition d’avoir le pied musclé : les disques ventilés répondent bien, mais sans aucune assistance. Chaque virage est une négociation entre le grip exceptionnel du châssis et la nervosité de la voiture. En ligne droite, la GT40 est un missile. Dans les petits virages de campagne, elle devient un fauve à tenir en laisse.
Malgré tous ses défauts objectifs, rouler avec une GT40 sur route reste un privilège hors du commun. Elle oblige à une concentration constante, à une conduite engagée et respectueuse. On anticipe chaque virage, chaque freinage, chaque passage étroit. C’est une expérience viscérale, presque physique, qui oblige à ralentir… pour mieux ressentir.
Les regards des passants sont émerveillés, parfois incrédules. Beaucoup reconnaissent la voiture des films, du Mans, ou des exploits de Ford contre Ferrari. Mais peu imaginent ce que cela représente vraiment : un moteur de guerre dans un écrin d’aluminium, lancé sur des routes bien trop humaines.
La Ford GT40 n’a jamais été faite pour la route. Et c’est précisément ce qui la rend exceptionnelle lorsqu’elle y roule. Chaque mètre est une aventure, chaque virage un défi, chaque instant une célébration de la mécanique sans compromis. Ce n’est pas une voiture pour aller quelque part — c’est une voiture pour se souvenir du trajet toute sa vie.
Vous pouvez gouter à tout cela avec une essai de la GT40 chez Prestige et Collection à Jallais.
Ne manquez pas l’occasion de posséder une œuvre qui capture l’essence même de la vitesse et de la passion automobile.
Commandez dès maintenant votre impression et laissez-vous emporter par la magie de la Ford GT40 !
Tableau technique mixte dessin/palette graphique
Illustration numérique réalisée au format 90 x 115 cm, disponible en impression fine art toile, papier …
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Extrait Porschecarhistory
Extrait Porschecarhistory
Extrait Porschecarhistory
Voici une liste de 50 photographes internationaux renommés pour leur travail dans la photographie de courses automobiles entre 1920 et 1975, accompagnée de liens vers leurs archives ou biographies en ligne :
Pour une exploration plus approfondie, vous pouvez consulter les ressources suivantes :
Extrait Porschecarhistory
Conduire une Alpine A110 1600S de 1967 sur une piste de terre battue détrempée, c’est s’offrir une immersion sensorielle totale dans le monde du rallye à l’ancienne. Entre les glissades savamment dosées, le son rauque du moteur, et le ressenti pur de la machine, on touche ici à l’essence même du pilotage : sans électronique, sans artifice, juste le pilote, la voiture, et le terrain.
L’Alpine A110 1600S n’a jamais été un monstre de puissance brute. Mais avec 138 chevaux pour moins de 700 kg, elle offre un rapport poids/puissance exceptionnel. Son moteur 4 cylindres 1 565 cm³, issu de Renault et préparé pour cette version “S”, aime grimper dans les tours, rugissant à travers les arbres au moindre effleurement de la pédale.
Mais ce qui fait le génie de l’Alpine, c’est son châssis : un poids-plume, un centre de gravité très bas, et surtout une architecture tout à l’arrière, avec le moteur placé derrière les roues arrière. Cette configuration donne un comportement unique, nerveux, parfois piégeux, mais redoutablement efficace entre des mains habiles.
Sur terre battue mouillée, cela devient un véritable jeu d’équilibriste.
Dès les premiers mètres sur la piste détrempée, le train avant léger de l’Alpine cherche sa trajectoire, glissant doucement dans les ornières. Mais rapidement, le conducteur comprend : ici, la direction n’est pas une simple indication, c’est une négociation permanente entre l’adhérence précaire, le transfert de masse et la réponse du moteur.
À l’entrée d’un virage en épingle, on freine du pied gauche — les roues mordent la boue, le cul de la voiture amorce une glissade. Un petit coup de volant, puis on remet les gaz : la 1600S part en travers. La glisse est maîtrisée, naturelle, élégante, presque artistique. Le pilote joue de l’accélérateur comme d’un pinceau. C’est toute la magie de la propulsion sur sol meuble.
Dans l’Alpine, rien n’est filtré :
Le pilote est constamment sollicité : la voiture demande à être tenue en tension, jamais laissée livrée à elle-même. Le moindre excès d’optimisme dans l’accélération peut envoyer l’arrière dans un large travers. À l’inverse, trop de prudence, et c’est la perte d’élan. La TRACÉ de conduite est une ligne souple, fluide, mais exigeante.
Sur terre battue mouillée, la 1600S révèle le pilote. Ici, pas de systèmes d’aide à la conduite, pas d’ABS, pas d’antipatinage. C’est un retour aux fondamentaux : gérer l’équilibre de la voiture, sentir l’adhérence au toucher du volant, et anticiper chaque transfert de charge.
Ce type de surface amplifie les qualités et les défauts du conducteur :
Cette expérience évoque directement les grandes heures de l’Alpine en rallye, notamment avant sa domination du Monte-Carlo dans les années 70. En 1967, la A110 1600S n’est pas encore au sommet de sa gloire, mais elle trace sa voie. C’est une voiture pensée pour ces terrains accidentés, pour les routes de montagne couvertes de gravier, de neige ou de boue.
Rouler avec elle aujourd’hui, sur une piste de terre détrempée, c’est ressentir l’histoire du sport automobile à travers le volant. C’est revivre les gestes des pilotes d’époque, de Jean Vinatier à Jean-Claude Andruet, qui faisaient glisser cette berlinette bleue avec une élégance féroce.
Conduire une Alpine A110 1600S sur une piste de boue, c’est un ballet entre le chaos et le contrôle, entre le bruit et le silence intérieur du pilote concentré. Ce n’est pas juste de la conduite — c’est un dialogue entre la machine, la surface et l’homme. Et c’est inoubliable.
Illustration originale – Technique mixte sur palette graphique, 97 x 97 cm – Impression tous formats, tous supports
Philippe Lepape
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Sculpture automobile à partir de miniature recyclée – 270 x 150 x 120 mm – 1,4 kg
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Vous êtes amateur de design, amoureux de belles mécaniques ou collectionneur d’objets rares ? Cette sculpture est faite pour vous. Elle n’est pas une simple décoration, mais un concentré d’émotion, de savoir-faire et de mémoire.
Chaque pièce est unique, réalisée à la main, montée avec soin, et livrée avec son certificat d’authenticité. Elle incarne un geste artistique fort : celui de faire dialoguer hier et aujourd’hui, industrie et art, mécanique et contemplation.
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Livraison protégée – Œuvre signée – Contact pour commandes personnalisées.
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