Art et sports mécaniques - Illustration et photographie

Author: admin3807 (Page 5 of 54)

Ascari et Ferrari dans l’orage – art print tableau


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Ford GT40 dans la lande – art print tableau


Conduire une Ford GT40 sur route ouverte : la bête sauvage hors de sa cage

Prendre le volant d’une Ford GT40 sur route ouverte, c’est comme faire décoller un avion de chasse sur une piste municipale. Conçue pour dominer les 24 Heures du Mans dans les années 1960, cette machine de course n’a jamais été pensée pour les trajets du quotidien. Et pourtant, certains propriétaires audacieux l’osent. Ce n’est ni pratique, ni confortable — mais c’est inoubliable.


L’essence de la GT40 : une voiture de course pure et dure

Dès que l’on s’en approche, la GT40 impose le respect. Haute de seulement 1,04 mètre (d’où son nom : 40 pouces), elle semble taillée au ras du sol, prête à fendre l’air. Le moteur — un V8 Ford de 4,7 ou 7 litres selon la version — trône juste derrière les sièges, séparé du conducteur par une mince cloison d’aluminium.

L’intérieur est spartiate, étroit, chaud et bruyant. Le pédalier est décalé vers la droite, les commandes sont dures, la visibilité est réduite. Mais dès que le contact est mis et que le moteur s’ébroue dans un rugissement métallique, tout le reste disparaît : vous êtes à bord d’une légende.


Sur la route : puissance brute, réactions immédiates

Sur route ouverte, la GT40 montre rapidement son caractère. Le moteur V8, gavé de couple, pousse avec une brutalité difficile à traduire en mots. Même à bas régime, chaque pression sur l’accélérateur envoie la voiture vers l’avant avec une rage féroce. La boîte ZF manuelle demande de la précision, mais chaque rapport passé est une satisfaction mécanique.

La direction, non assistée, est lourde à basse vitesse mais incroyablement directe dès que l’allure augmente. Le freinage est puissant, à condition d’avoir le pied musclé : les disques ventilés répondent bien, mais sans aucune assistance. Chaque virage est une négociation entre le grip exceptionnel du châssis et la nervosité de la voiture. En ligne droite, la GT40 est un missile. Dans les petits virages de campagne, elle devient un fauve à tenir en laisse.


Les qualités : une communion totale avec la machine

  • Sensation mécanique pure : la GT40 filtre peu — chaque vibration, chaque changement de régime, chaque accroche de pneu se ressent dans le corps.
  • Équilibre à haute vitesse : à partir de 100 km/h, la voiture s’installe, respire et dévoile son génie aérodynamique.
  • Précision de conduite : une fois apprivoisée, la GT40 récompense le pilote par une précision redoutable.
  • Prestige et émotion : être au volant d’une GT40 sur route, c’est vivre un moment suspendu dans le temps. On ne conduit pas, on pilote.

Les défauts : la brutalité d’une machine hors de son élément

  • Inconfort total : chaleur excessive dans l’habitacle, bruit assourdissant, sièges durs, suspensions raides. Tout est pensé pour la piste, pas pour le confort.
  • Visibilité catastrophique : rétroviseurs symboliques, angle mort omniprésent, manœuvres compliquées. En ville, c’est un cauchemar.
  • Boîte difficile à froid : les premiers kilomètres sont souvent accompagnés de craquements.
  • Consommation déraisonnable : même à vitesse modérée, le V8 boit comme une Formule 1.
  • Rayon de braquage faible, garde au sol inexistante : attention aux ralentisseurs, dos d’âne et parkings.

Un monstre qu’on apprivoise

Malgré tous ses défauts objectifs, rouler avec une GT40 sur route reste un privilège hors du commun. Elle oblige à une concentration constante, à une conduite engagée et respectueuse. On anticipe chaque virage, chaque freinage, chaque passage étroit. C’est une expérience viscérale, presque physique, qui oblige à ralentir… pour mieux ressentir.

Les regards des passants sont émerveillés, parfois incrédules. Beaucoup reconnaissent la voiture des films, du Mans, ou des exploits de Ford contre Ferrari. Mais peu imaginent ce que cela représente vraiment : un moteur de guerre dans un écrin d’aluminium, lancé sur des routes bien trop humaines.


Conclusion : une folie délicieuse

La Ford GT40 n’a jamais été faite pour la route. Et c’est précisément ce qui la rend exceptionnelle lorsqu’elle y roule. Chaque mètre est une aventure, chaque virage un défi, chaque instant une célébration de la mécanique sans compromis. Ce n’est pas une voiture pour aller quelque part — c’est une voiture pour se souvenir du trajet toute sa vie.

Vous pouvez gouter à tout cela avec une essai de la GT40 chez Prestige et Collection à Jallais.

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Tableau technique mixte dessin/palette graphique
Illustration numérique réalisée au format 90 x 115 cm, disponible en impression fine art toile, papier …

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Liens marques automobiles

Extrait Porschecarhistory

Liens courses automobiles

Extrait Porschecarhistory

Liens manifestations et courses automobiles

Extrait Porschecarhistory

Liens images automobiles

Voici une liste de 50 photographes internationaux renommés pour leur travail dans la photographie de courses automobiles entre 1920 et 1975, accompagnée de liens vers leurs archives ou biographies en ligne :


🇫🇷 Photographes français

  1. Jacques Henri Lartigue – Pionnier de la photographie de mouvement, il a immortalisé les premières courses automobiles dès les années 1900.
    Biographie
  2. Bernard Cahier – Figure emblématique des paddocks de Formule 1 des années 1950 à 1970.
    Biographie
  3. Emmanuel Zurini (Manou Zurini) – Photographe de Formule 1 de 1966 à 1996, avant de se consacrer à la sculpture automobile.
    Biographie
  4. Jean-Claude Sauer – Photographe de Paris Match, il a capturé des moments clés du sport automobile.
    Biographie
  5. Maurice Louche – Archiviste et photographe, il possède une collection de plus de 800 000 négatifs originaux sur le sport automobile.
    Archives photographiques
  6. Bernard Asset – Photographe de Formule 1 depuis 1973, ses archives couvrent près de 50 ans de sport automobile.
    Biographie
  7. Yves Debraine – Photographe associé à la publication Automobile Year.
    Collection Klemantaskiklemcoll.com
  8. Ami Guichard – Photographe et éditeur suisse, fondateur d’Automobile Year.
    Collection Klemantaski
  9. André Van Bever – Photographe belge ayant chroniqué l’histoire des courses automobiles de 1949 à 1975.
    Article Hagerty

🇬🇧 Photographes britanniques

  1. Louis Klemantaski – Photographe britannique, l’un des plus innovants du sport automobile avant la Seconde Guerre mondiale.
    Biographie
  2. Edward Eves – Photographe britannique de sport automobile.
    Collection Klemantaski
  3. T. C. March – Photographe britannique de sport automobile.
    Collection Klemantaski
  4. Alan R. Smith – Photographe britannique de sport automobile.
    Collection Klemantaski
  5. Colin Waldeck – Photographe britannique de sport automobile.
    Collection Klemantaski
  6. Don Coles – Photographe sportif actif dans les années 1950 à 1970.
    Article Barnebys

🇩🇪 Photographes allemands

  1. Rainer W. Schlegelmilch – Photographe de Formule 1 depuis 1962, ayant capturé environ 600 Grands Prix.
    Article Barnebys
  2. Herbert List – Photographe allemand connu pour ses images en noir et blanc.
    Biographie

🇺🇸 Photographes américains

  1. Charles F. Bretzman – Premier photographe officiel de l’Indianapolis 500.
    Biographie
  2. Bruce Craig – Photographe documentaire ayant capturé des images du sport automobile américain des années 1910 aux années 1970.
    Revs Digital Library
  3. Ted Wilson – Photographe de sport automobile américain.
    Revs Digital Library
  4. Vincente Alvarez – Photographe de sport automobile américain.
    Revs Digital Library
  5. Skip Eveleth – Photographe de sport automobile américain.
    Revs Digital Library
  6. Robert Daley – Photojournaliste et auteur américain.
    Collection Klemantaski
  7. Bill Fox – Photographe de sport automobile américain.
    Collection Klemantaski
  8. Chuck Rogers – Photographe de sport automobile américain.
    Collection Klemantaski
  9. Jack Whorwood – Photographe de sport automobile américain.
    Collection Klemantaski

🇮🇹 Photographes italiens

  1. Peter Coltrin – Photographe basé à Modène, connu pour son travail sur le sport automobile italien.
    Collection Klemantaski
  2. Giuliano Orzali – Photographe italien de sport automobile.
    Collection Klemantaski

Autres photographes notables

  1. Zoltán Glass – Photographe hongrois ayant couvert les plus grandes courses en Allemagne dans les années 1930.
    Biographie
  2. Daniel Hendrickx – Photographe belge ayant couvert de nombreuses compétitions automobiles en Europe dans les années 1960 et 1970.
    Hendrickx Collection

Pour une exploration plus approfondie, vous pouvez consulter les ressources suivantes :

Extrait Porschecarhistory

Alpine berlinette A110 dans la boue – art print tableau


Alpine A110 1600S dans la boue : l’art du contrôle à la dérive

Conduire une Alpine A110 1600S de 1967 sur une piste de terre battue détrempée, c’est s’offrir une immersion sensorielle totale dans le monde du rallye à l’ancienne. Entre les glissades savamment dosées, le son rauque du moteur, et le ressenti pur de la machine, on touche ici à l’essence même du pilotage : sans électronique, sans artifice, juste le pilote, la voiture, et le terrain.


La voiture : une ballerine aux pieds sales

L’Alpine A110 1600S n’a jamais été un monstre de puissance brute. Mais avec 138 chevaux pour moins de 700 kg, elle offre un rapport poids/puissance exceptionnel. Son moteur 4 cylindres 1 565 cm³, issu de Renault et préparé pour cette version “S”, aime grimper dans les tours, rugissant à travers les arbres au moindre effleurement de la pédale.

Mais ce qui fait le génie de l’Alpine, c’est son châssis : un poids-plume, un centre de gravité très bas, et surtout une architecture tout à l’arrière, avec le moteur placé derrière les roues arrière. Cette configuration donne un comportement unique, nerveux, parfois piégeux, mais redoutablement efficace entre des mains habiles.

Sur terre battue mouillée, cela devient un véritable jeu d’équilibriste.


Entrée en piste : la voiture flotte et danse

Dès les premiers mètres sur la piste détrempée, le train avant léger de l’Alpine cherche sa trajectoire, glissant doucement dans les ornières. Mais rapidement, le conducteur comprend : ici, la direction n’est pas une simple indication, c’est une négociation permanente entre l’adhérence précaire, le transfert de masse et la réponse du moteur.

À l’entrée d’un virage en épingle, on freine du pied gauche — les roues mordent la boue, le cul de la voiture amorce une glissade. Un petit coup de volant, puis on remet les gaz : la 1600S part en travers. La glisse est maîtrisée, naturelle, élégante, presque artistique. Le pilote joue de l’accélérateur comme d’un pinceau. C’est toute la magie de la propulsion sur sol meuble.


Les sensations : brutales et fines à la fois

Dans l’Alpine, rien n’est filtré :

  • Les projections de boue martèlent les passages de roue.
  • Les vibrations du moteur traversent le châssis jusque dans le siège baquet.
  • L’odeur d’huile chaude et de terre humide envahit l’habitacle spartiate.

Le pilote est constamment sollicité : la voiture demande à être tenue en tension, jamais laissée livrée à elle-même. Le moindre excès d’optimisme dans l’accélération peut envoyer l’arrière dans un large travers. À l’inverse, trop de prudence, et c’est la perte d’élan. La TRACÉ de conduite est une ligne souple, fluide, mais exigeante.


La boue comme révélateur de talent

Sur terre battue mouillée, la 1600S révèle le pilote. Ici, pas de systèmes d’aide à la conduite, pas d’ABS, pas d’antipatinage. C’est un retour aux fondamentaux : gérer l’équilibre de la voiture, sentir l’adhérence au toucher du volant, et anticiper chaque transfert de charge.

Ce type de surface amplifie les qualités et les défauts du conducteur :

  • Il faut être doux mais précis.
  • Savoir freiner en ligne sans figer le train avant.
  • Relancer à la limite de la perte de motricité, en sentant le grip sous les pneus.

Un hommage au rallye des années 60

Cette expérience évoque directement les grandes heures de l’Alpine en rallye, notamment avant sa domination du Monte-Carlo dans les années 70. En 1967, la A110 1600S n’est pas encore au sommet de sa gloire, mais elle trace sa voie. C’est une voiture pensée pour ces terrains accidentés, pour les routes de montagne couvertes de gravier, de neige ou de boue.

Rouler avec elle aujourd’hui, sur une piste de terre détrempée, c’est ressentir l’histoire du sport automobile à travers le volant. C’est revivre les gestes des pilotes d’époque, de Jean Vinatier à Jean-Claude Andruet, qui faisaient glisser cette berlinette bleue avec une élégance féroce.


Conclusion : symphonie mécanique et maitrise instinctive

Conduire une Alpine A110 1600S sur une piste de boue, c’est un ballet entre le chaos et le contrôle, entre le bruit et le silence intérieur du pilote concentré. Ce n’est pas juste de la conduite — c’est un dialogue entre la machine, la surface et l’homme. Et c’est inoubliable.

Illustration originale – Technique mixte sur palette graphique, 97 x 97 cm – Impression tous formats, tous supports

Philippe Lepape

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Porsche 356 sculpture carrosserie sur socle

Porsche 356

Sculpture automobile à partir de miniature recyclée – 270 x 150 x 120 mm – 1,4 kg
Voir prix à la rubrique “Tarif”


Un objet d’exception pour passionné éclairé

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Chaque pièce est unique, réalisée à la main, montée avec soin, et livrée avec son certificat d’authenticité. Elle incarne un geste artistique fort : celui de faire dialoguer hier et aujourd’hui, industrie et art, mécanique et contemplation.

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