Voici une liste de 50 photographes internationaux renommés pour leur travail dans la photographie de courses automobiles entre 1920 et 1975, accompagnée de liens vers leurs archives ou biographies en ligne :
🇫🇷 Photographes français
Jacques Henri Lartigue – Pionnier de la photographie de mouvement, il a immortalisé les premières courses automobiles dès les années 1900. Biographie
Bernard Cahier – Figure emblématique des paddocks de Formule 1 des années 1950 à 1970. Biographie
Emmanuel Zurini (Manou Zurini) – Photographe de Formule 1 de 1966 à 1996, avant de se consacrer à la sculpture automobile. Biographie
Jean-Claude Sauer – Photographe de Paris Match, il a capturé des moments clés du sport automobile. Biographie
Maurice Louche – Archiviste et photographe, il possède une collection de plus de 800 000 négatifs originaux sur le sport automobile. Archives photographiques
Bernard Asset – Photographe de Formule 1 depuis 1973, ses archives couvrent près de 50 ans de sport automobile. Biographie
Alpine A110 1600S dans la boue : l’art du contrôle à la dérive
Conduire une Alpine A110 1600S de 1967 sur une piste de terre battue détrempée, c’est s’offrir une immersion sensorielle totale dans le monde du rallye à l’ancienne. Entre les glissades savamment dosées, le son rauque du moteur, et le ressenti pur de la machine, on touche ici à l’essence même du pilotage : sans électronique, sans artifice, juste le pilote, la voiture, et le terrain.
La voiture : une ballerine aux pieds sales
L’Alpine A110 1600S n’a jamais été un monstre de puissance brute. Mais avec 138 chevaux pour moins de 700 kg, elle offre un rapport poids/puissance exceptionnel. Son moteur 4 cylindres 1 565 cm³, issu de Renault et préparé pour cette version “S”, aime grimper dans les tours, rugissant à travers les arbres au moindre effleurement de la pédale.
Mais ce qui fait le génie de l’Alpine, c’est son châssis : un poids-plume, un centre de gravité très bas, et surtout une architecture tout à l’arrière, avec le moteur placé derrière les roues arrière. Cette configuration donne un comportement unique, nerveux, parfois piégeux, mais redoutablement efficace entre des mains habiles.
Sur terre battue mouillée, cela devient un véritable jeu d’équilibriste.
Entrée en piste : la voiture flotte et danse
Dès les premiers mètres sur la piste détrempée, le train avant léger de l’Alpine cherche sa trajectoire, glissant doucement dans les ornières. Mais rapidement, le conducteur comprend : ici, la direction n’est pas une simple indication, c’est une négociation permanente entre l’adhérence précaire, le transfert de masse et la réponse du moteur.
À l’entrée d’un virage en épingle, on freine du pied gauche — les roues mordent la boue, le cul de la voiture amorce une glissade. Un petit coup de volant, puis on remet les gaz : la 1600S part en travers. La glisse est maîtrisée, naturelle, élégante, presque artistique. Le pilote joue de l’accélérateur comme d’un pinceau. C’est toute la magie de la propulsion sur sol meuble.
Les sensations : brutales et fines à la fois
Dans l’Alpine, rien n’est filtré :
Les projections de boue martèlent les passages de roue.
Les vibrations du moteur traversent le châssis jusque dans le siège baquet.
L’odeur d’huile chaude et de terre humide envahit l’habitacle spartiate.
Le pilote est constamment sollicité : la voiture demande à être tenue en tension, jamais laissée livrée à elle-même. Le moindre excès d’optimisme dans l’accélération peut envoyer l’arrière dans un large travers. À l’inverse, trop de prudence, et c’est la perte d’élan. La TRACÉ de conduite est une ligne souple, fluide, mais exigeante.
La boue comme révélateur de talent
Sur terre battue mouillée, la 1600S révèle le pilote. Ici, pas de systèmes d’aide à la conduite, pas d’ABS, pas d’antipatinage. C’est un retour aux fondamentaux : gérer l’équilibre de la voiture, sentir l’adhérence au toucher du volant, et anticiper chaque transfert de charge.
Ce type de surface amplifie les qualités et les défauts du conducteur :
Il faut être doux mais précis.
Savoir freiner en ligne sans figer le train avant.
Relancer à la limite de la perte de motricité, en sentant le grip sous les pneus.
Un hommage au rallye des années 60
Cette expérience évoque directement les grandes heures de l’Alpine en rallye, notamment avant sa domination du Monte-Carlo dans les années 70. En 1967, la A110 1600S n’est pas encore au sommet de sa gloire, mais elle trace sa voie. C’est une voiture pensée pour ces terrains accidentés, pour les routes de montagne couvertes de gravier, de neige ou de boue.
Rouler avec elle aujourd’hui, sur une piste de terre détrempée, c’est ressentir l’histoire du sport automobile à travers le volant. C’est revivre les gestes des pilotes d’époque, de Jean Vinatier à Jean-Claude Andruet, qui faisaient glisser cette berlinette bleue avec une élégance féroce.
Conclusion : symphonie mécanique et maitrise instinctive
Conduire une Alpine A110 1600S sur une piste de boue, c’est un ballet entre le chaos et le contrôle, entre le bruit et le silence intérieur du pilote concentré. Ce n’est pas juste de la conduite — c’est un dialogue entre la machine, la surface et l’homme. Et c’est inoubliable.
Illustration originale – Technique mixte sur palette graphique, 97 x 97 cm – Impression tous formats, tous supports
Philippe Lepape
Renseignements
“À partir d’une ou de photos d’archive, auteur inconnu. Mise en couleur et transformation artistique par Philippe Lepape » NB : Les images dont je m’inspire sont anciennes et je ne dispose pas des noms des ayants droits je retirerai mes images de mon site sur simple demande.
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Lever le pied dans un virage, surtout en compétition automobile, peut sembler à première vue être un réflexe sécuritaire. Pourtant, c’est souvent l’une des erreurs les plus dangereuses que peut commettre un pilote. En effet, en plein virage, relâcher brutalement l’accélérateur ou freiner de manière inappropriée peut entraîner une perte de contrôle violente du véhicule. Pour comprendre pourquoi, il faut se pencher sur la dynamique du véhicule, le rôle du transfert de masse, la répartition des appuis, et les caractéristiques spécifiques de la conduite en compétition.
1. La dynamique du véhicule en virage
Quand une voiture prend un virage à haute vitesse, plusieurs forces entrent en jeu. La plus importante est la force centrifuge, qui pousse le véhicule vers l’extérieur du virage. Pour contrer cette force, les pneus doivent générer une adhérence latérale suffisante. Cette adhérence dépend de nombreux facteurs : l’état de la piste, les pneus, la suspension, et surtout la charge qui repose sur chaque roue — c’est ici que le comportement du pilote devient crucial.
Maintenir une certaine pression sur l’accélérateur pendant un virage, même légère, permet de stabiliser la voiture en conservant une répartition équilibrée des masses entre les roues avant et arrière. Lever le pied brutalement en plein appui rompt cet équilibre.
2. Le transfert de masse : une question d’équilibre
Lorsqu’un pilote lève le pied de l’accélérateur ou freine dans un virage, il induit un transfert de masse vers l’avant du véhicule. Ce phénomène est normal, mais en virage, il a des conséquences spécifiques : le train avant se charge (les roues avant reçoivent plus de poids), tandis que le train arrière se déleste.
Ce délestage de l’arrière entraîne une diminution de l’adhérence des pneus arrière. Résultat : la voiture peut pivoter plus rapidement que prévu. Si ce transfert est brutal, cela provoque ce que l’on appelle du survirage : l’arrière décroche, la voiture part en tête-à-queue. Dans une voiture de course, où les vitesses sont élevées et les appuis très sensibles, ce phénomène peut devenir incontrôlable en une fraction de seconde.
3. L’importance du rythme et de la trajectoire
En compétition, tout est question de rythme et de fluidité. La trajectoire idéale dans un virage suit une séquence précise : freinage en ligne droite, entrée dans le virage avec relâchement progressif du frein, point de corde, et réaccélération contrôlée à la sortie. Lever le pied au milieu de cette séquence casse le rythme. Cela modifie brusquement la charge sur les roues, la trajectoire, et donc les réactions de la voiture.
Un pilote expérimenté garde toujours un certain niveau de charge sur l’accélérateur, même minime, pour maintenir une légère traction sur les roues arrière. Cela aide la voiture à rester « tendue », stable, et prévisible. Une voiture bien « posée » sur son train arrière est beaucoup plus facile à piloter à la limite.
4. Des voitures de course conçues pour la stabilité à l’accélération
Il faut aussi comprendre que les voitures de course, qu’il s’agisse de GT, de monoplaces ou de prototypes, sont réglées pour être performantes dans des conditions spécifiques. Ces réglages incluent l’aérodynamique, les suspensions et les différentiels. Souvent, les véhicules sont conçus pour offrir leur meilleure stabilité à l’accélération.
Par exemple, en Formule 1 ou en endurance, l’aéro est dimensionnée pour produire un appui optimal à pleine charge. Relâcher l’accélérateur dans un virage, c’est aussi réduire la vitesse du flux d’air, et donc perdre de l’appui aérodynamique. Cela peut provoquer un comportement instable immédiat, surtout dans les virages rapides où l’aéro joue un rôle majeur.
5. Les risques psychologiques et réflexes de panique
Dans certaines situations, lever le pied peut être un réflexe humain, dicté par la peur ou l’incertitude : on entre trop vite dans un virage, on voit le point de corde se rapprocher trop vite, et l’instinct pousse à ralentir. Mais en compétition, il faut justement lutter contre ces réflexes naturels. Un bon pilote sait qu’il vaut mieux gérer un virage en conservant une légère accélération, quitte à ajuster sa trajectoire, que de casser l’équilibre de la voiture.
Lever le pied dans un virage est souvent une réaction instinctive… mais contre-productive. C’est pourquoi les pilotes s’entraînent à développer une confiance extrême en la tenue de route du véhicule, ainsi qu’en leurs propres capacités à « sentir » les limites d’adhérence.
6. Quelques exceptions et nuances
Bien sûr, il existe des cas particuliers. Dans certaines manœuvres de pilotage avancé, lever le pied peut être utilisé volontairement pour provoquer un transfert de masse et faire pivoter la voiture plus rapidement — c’est le principe du « lift-off oversteer », très utilisé en rallye ou en drift. Mais cela nécessite un contrôle extrêmement précis et des réactions immédiates. Ce n’est en aucun cas une technique recommandée en pleine charge dans une course classique à haute vitesse.
De même, en cas d’obstacle imprévu, ou pour éviter une sortie de piste, un soulagement progressif de l’accélérateur peut être nécessaire. Mais cela doit être réfléchi, dosé, et anticipé. Lever brusquement le pied dans un virage reste, dans 99 % des cas, une erreur.
En résumé
Lever le pied dans un virage, en compétition automobile, rompt l’équilibre délicat entre la masse, la vitesse, l’adhérence et l’aérodynamique. Cela provoque souvent un transfert brutal de charge vers l’avant, délestant l’arrière et risquant un survirage dangereux. Dans une discipline où la stabilité, la précision et la fluidité sont vitales, chaque action du pilote doit être mesurée, progressive et stratégique. Garder du gaz en virage, même légèrement, c’est assurer un comportement plus prévisible de la voiture et maximiser la performance tout en réduisant les risques de perte de contrôle. C’est l’un des fondamentaux du pilotage à haut niveau.
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AC Cobra Daytona : la vengeance américaine sur Ferrari
L’AC Cobra Daytona est bien plus qu’une déclinaison aérodynamique de la fameuse Cobra. C’est une voiture de légende, née du désir de battre Ferrari sur son terrain favori : les courses d’endurance européennes. Créée en 1964 pour répondre aux exigences du Championnat du Monde des Voitures de Grand Tourisme (GT), la Daytona est l’arme que Carroll Shelby a forgée pour prendre sa revanche sur l’élite européenne.
Technique : aérodynamisme et muscle américain
La base technique de la Daytona est l’AC Cobra 289 (4,7 litres), mais profondément modifiée pour répondre aux défis aérodynamiques des longues lignes droites du Mans et des circuits européens.
Châssis et carrosserie
Châssis tubulaire AC d’origine, modifié pour recevoir la nouvelle carrosserie.
Carrosserie en aluminium, dessinée par Peter Brock (ancien designer de GM), pensée pour maximiser la vitesse de pointe avec un profil Kammback (queue tronquée).
Poids : environ 1 000 kg, très léger pour une voiture de cette puissance.
Moteur
V8 Ford 289 ci (4,7 litres) à carter humide, préparé par Shelby American.
Puissance : environ 385 ch à 6 000 tr/min, couplée à une boîte manuelle Borg-Warner à 4 rapports.
Accélération de 0 à 100 km/h en environ 4,4 secondes, vitesse de pointe de près de 300 km/h — phénoménal pour l’époque.
Suspension et freins
Suspension avant indépendante, essieu arrière rigide avec ressorts à lames.
Freins à disque aux quatre roues, assistés, offrant un freinage puissant pour des courses d’endurance.
Pneumatiques Goodyear racing, montés sur jantes Halibrand en magnésium.
La Daytona était conçue pour résister aux rigueurs des 12 ou 24 heures de course, tout en offrant des performances dignes des prototypes.
Des pilotes d’exception
Shelby ne laissait rien au hasard : pour conduire sa Daytona, il engagea une élite de pilotes américains et européens, réputés pour leur bravoure et leur maîtrise.
Dan Gurney : pilote de F1 et d’endurance, fin technicien, il remporta plusieurs courses au volant de la Daytona.
Bob Bondurant : pilier de Shelby, il mena la Daytona à la victoire à Reims et contribua à décrocher le titre mondial.
Phil Hill : seul champion du monde F1 américain, il prit le volant d’une Daytona au Mans en 1964.
Jo Schlesser, Jack Sears, Peter Brock (pas le designer), Allen Grant, et Dave MacDonald participèrent aussi à l’aventure.
Ces pilotes ont repoussé les limites de la voiture sur les circuits les plus exigeants d’Europe et d’Amérique.
Un palmarès historique : le sacre de 1965
Dès sa première apparition en 1964, la Daytona fait sensation. Face aux Ferrari 250 GTO, reines incontestées de la catégorie GT, la voiture américaine offre une riposte brutale.
1964
Le Mans : victoire de classe (GT) avec Gurney/Bondurant.
Tour de France automobile : 1ère place GT.
Podiums et victoires de classe à Sebring, Spa, Reims.
1965 – L’apothéose
La Daytona remporte le Championnat du Monde des Constructeurs GT, détrônant Ferrari.
Victoires de classe à :
Daytona 2000 km
Sebring 12 Heures
Monza 1000 km
Nürburgring 1000 km
Reims 12 Heures
Le Mans 24 Heures (victoire de classe, 4e au général !)
Le titre GT 1965 marque l’un des plus grands exploits de l’automobile américaine en Europe.
Une légende à six exemplaires
Seulement six exemplaires originaux de la Cobra Daytona ont été construits entre 1964 et 1965. Cela en fait l’un des véhicules de course les plus rares et les plus convoités au monde.
Leur valeur aujourd’hui dépasse largement les 30 millions de dollars pièce. Leur ligne unique, leur palmarès impressionnant, et l’histoire qu’elles racontent — celle d’un constructeur américain défiant l’aristocratie européenne — en font de véritables trésors roulants.
Héritage
La Cobra Daytona reste aujourd’hui une icône de la compétition automobile. Elle incarne le génie de Carroll Shelby, la puissance du V8 américain, et le triomphe de la persévérance sur l’élitisme. Elle est aussi la preuve qu’avec une bonne idée, un bon dessin, et de la détermination, David peut battre Goliath — même à 300 km/h.
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