Art et sports mécaniques - Illustration et photographie

Month: May 2025 (Page 1 of 3)

Ceci est une voiture (clin d’oeil à Magritte) – art print tableau


“Ceci est une voiture” – Présentation de l’œuvre

« Ceci est une voiture » : le titre annonce d’emblée le paradoxe. On pense à Magritte, bien sûr, à sa fameuse pipe qui n’en est pas une. Le tableau que vous contemplez emprunte à cette logique de décalage entre le mot, l’image et la réalité, pour mieux interroger notre perception de ce qui est montré.

À première vue, l’image semble simple : un cabriolet, vu de dos, lancé à vive allure sur une route ouverte. Le paysage se devine à peine, comme happé par la vitesse. C’est un plan resserré, presque cinématographique, qui nous plonge dans l’action sans nous livrer son contexte. La route est droite, mais l’image est traversée d’une tension invisible.

Ce qui frappe, c’est l’organisation du cadre : le passager est bien visible, assis à droite, mais l’on ne voit du conducteur que les mains posées sur le volant, à gauche. Le reste du corps est absent, dissous dans l’habitacle ou simplement effacé. Cette absence crée un effet troublant. Qui conduit ? Y a-t-il seulement quelqu’un ? Ce détail suggère une présence fantomatique, voire une disparition programmée. Le véhicule semble avancer de lui-même, possédé par une force impersonnelle.

Techniquement, la palette graphique utilisée amplifie cette impression de flottement. Les couleurs sont vives mais contenues, jouant sur les contrastes entre les tons métalliques du cabriolet et les reflets mouvants de la route. Le ciel, peut-être, se reflète sur la carrosserie. Le traitement numérique donne au tableau une texture presque irréelle, lisse mais pleine de vibrations. Le style emprunte à la fois au réalisme automobile des affiches vintage et à la rigueur des compositions modernes : les lignes sont nettes, les formes ciselées, mais tout semble baigner dans une lumière ambiguë.

L’œuvre joue également sur le silence. Il n’y a pas de bruit ici. On imagine le moteur, le vent, le crissement des pneus, mais rien n’est représenté de manière sonore. Ce silence accentue l’étrangeté de la scène. Tout est en mouvement, mais figé. Tout est vivant, mais sans chair. Cette contradiction alimente la sensation d’inquiétante étrangeté — une route vers nulle part, une course sans destination, un pilote invisible.

En empruntant à Magritte la stratégie du décalage entre le titre et l’image, ce tableau interroge ce que nous croyons voir. Ce n’est pas « une voiture » au sens banal du terme. C’est une allégorie de la modernité, du contrôle, ou de sa perte. C’est un hommage au voyage, à l’absence, à la solitude que même une voiture pleine peut révéler.

Enfin, « Ceci est une voiture » invite à une lecture ouverte. Le spectateur peut y projeter ses propres fantasmes de liberté, ses souvenirs de routes oubliées, ou ses angoisses de disparition. L’œuvre ne donne pas de réponse : elle trace simplement une voie.

Tableau technique mixte dessin/palette graphique
Illustration numérique réalisée au format 90 x 105 cm, disponible en impression fine art toile, papier …

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Lotus Elise S1 dans la nuit – art print tableau


La Lotus Elise S1, lancée en 1996, incarne la pureté de la voiture de sport légère, conçue pour offrir des sensations de conduite brutes et authentiques. Véritable héritière de la philosophie de Colin Chapman — “Light is right” — cette première génération d’Elise repose sur un châssis en aluminium extrudé collé, pesant à peine 68 kg. Ce châssis révolutionnaire, combiné à une carrosserie en fibre de verre, permet à l’ensemble de la voiture d’afficher un poids plume d’environ 725 kg.

Sous le capot, on trouve un moteur 4 cylindres 1.8L 16 soupapes Rover K-Series développant 118 chevaux, ce qui peut sembler modeste sur le papier. Pourtant, grâce à son poids contenu, la S1 atteint le 0 à 100 km/h en 5,8 secondes, avec une vitesse de pointe de près de 200 km/h. La boîte manuelle à 5 rapports est directe, sans artifice, tout comme la direction non assistée, qui restitue fidèlement les sensations de la route.

Côté pilotage, l’Elise S1 est une machine à sensations. Elle exige précision et finesse. Très agile grâce à son poids réduit et à une répartition bien équilibrée, elle brille dans les enchaînements rapides. Le manque d’aides électroniques — pas d’ABS, pas de contrôle de traction — renforce cette expérience “à l’ancienne”. Sur circuit ou route sinueuse, le conducteur est pleinement impliqué : chaque freinage, chaque transfert de masse compte.

Malgré sa relative faible puissance, l’Elise S1 s’est forgée un palmarès respectable en compétition. Elle s’est illustrée dans les championnats monomarques comme la Lotus Cup, ainsi que dans des catégories GT de niveau national. Elle a souvent surpris des voitures bien plus puissantes grâce à sa tenue de route exemplaire et son efficacité dans les courbes. Elle a aussi servi de base pour des préparations plus radicales, comme l’Exige, ou encore les versions engagées en endurance, démontrant sa polyvalence et sa rigueur technique.

Aujourd’hui, la Lotus Elise S1 est une icône. Recherchée par les puristes, elle représente une époque où le plaisir de conduire primait sur les performances brutes. C’est une voiture qui se pilote, qui se ressent, et qui continue de faire battre le cœur des amateurs de sportives légères et authentiques.

Tableau technique mixte dessin/palette graphique
Illustration numérique réalisée au format 90 x 105 cm, disponible en impression fine art toile, papier …

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Apprendre à lire avant de savoir conduire …

Projet affiche Abécédaire – 27 Voitures Mythiques

Ce projet rend hommage à l’histoire automobile à travers une affiche originale : un abécédaire visuel de 27 modèles emblématiques, de A à Z. Chaque lettre est associée à une voiture mythique soigneusement sélectionnée pour son importance historique, son design ou son impact culturel. De l’Alpine A110 à la Zagato Zele, cette affiche met en valeur la diversité stylistique et technique de l’automobile à travers les époques (maquette ci dessous).

Présentés sous forme de silhouettes noires sur fond blanc, ces modèles iconiques sont reconnaissables au premier coup d’œil. Ce choix graphique met en lumière la pureté des lignes et l’identité visuelle unique de chaque véhicule. À la fois pédagogique, esthétique et passionné, cet abécédaire vise autant les amateurs d’automobile que les amateurs de design. Une œuvre à afficher, collectionner, ou simplement contempler pour célébrer la beauté de la mécanique.

A = Alpine Renault A110 (1964)
B = Bugatti Type 35 (1924)
C = Citroën DS (1955)
D = Delorean DMC-12 (1981)
E = Ferrari Enzo (2002)
F = Ford GT40 (1964)
G = GMC Hummer EV (2021)
H = Honda NSX (1990)
I = Iso Grifo (1965)
J = Jaguar E-Type (1961)
K = Koenigsegg Jesko (2020)
L = Lamborghini Miura (1966)
M = Mercedes-Benz 300 SL Gullwing (1954)
N = Nissan Skyline GT-R R34 (1999)
O = Oldsmobile 88 (1949)
P = Porsche 911 Carrera RS 2.7 (1973)
Q = Qvale Mangusta (2000)
R = Renault 5 Turbo (1980)
S = Shelby Cobra 427 (1965)
T = Toyota 2000GT (1967)
U = Ultima GTR (2000)
V = Volkswagen Beetle (1938)
W = Wiesmann MF5 (2008)
X = XJ220 by Jaguar (1992)
Y = Yamaha OX99-11 (1992)
Z = Zagato Zele (1974)

AC Cobra versus Ford GT40 – art print tableau


AC Cobra 427 vs Ford GT40 : Duel de Légendes

Dans le panthéon de l’automobile de performance, rares sont les duels aussi légendaires que celui entre l’AC Cobra 427 et la Ford GT40. Nées toutes deux de la passion de Carroll Shelby et du désir de Ford de battre Ferrari sur son propre terrain, ces deux voitures représentent deux visions radicales de la performance américaine dans les années 1960.

AC Cobra 427 : La puissance brute à l’état pur

L’AC Cobra 427, née de la collaboration entre le constructeur britannique AC Cars et Carroll Shelby, fut l’évolution ultime de la Cobra originale. Après avoir commencé avec de modestes moteurs V8 260 et 289 ci, Shelby y installa le monstrueux Ford 427 ci (7.0 litres). Ce bloc suralimenté développait environ 425 chevaux en version route, et bien plus en compétition.

Le châssis de l’AC fut modifié pour accueillir ce moteur plus large, donnant naissance à la Cobra 427 « wide body », plus musclée et plus agressive. Avec un poids à peine supérieur à 1100 kg, la Cobra offrait des performances ahurissantes pour l’époque : un 0 à 100 km/h en moins de 4 secondes, une vitesse de pointe approchant les 270 km/h, et surtout une accélération sauvage difficile à maîtriser.

Sur les circuits courts ou en drag race, la Cobra était redoutable. Mais elle souffrait de problèmes d’adhérence et de stabilité à haute vitesse. Elle était une machine brute, sans compromis, conçue pour les pilotes les plus téméraires.

Ford GT40 : Le raffinement de la guerre technologique

Face à l’arrogance perçue de Ferrari, Henry Ford II décida de battre les Italiens là où ils régnaient : aux 24 Heures du Mans. Après plusieurs tentatives, c’est grâce à l’expertise de Shelby et de son équipe que la Ford GT40 Mk II, équipée elle aussi d’un V8 427 ci, parvint à surclasser Ferrari en 1966, avec un triplé historique.

La GT40 ne misait pas uniquement sur la puissance. Son aérodynamisme étudié, son châssis rigide, sa boîte manuelle renforcée et son comportement routier en faisaient une machine taillée pour l’endurance. Elle accumula quatre victoires consécutives au Mans (1966–1969), devenant une icône de l’ingénierie américaine.

Bien que partageant le même moteur que la Cobra 427, la GT40 l’exploitait avec plus de finesse, maîtrisant les hautes vitesses et les longues distances avec une redoutable efficacité.

Deux philosophies, une même rage de vaincre

La Cobra 427 et la Ford GT40 incarnent deux facettes de la performance : l’une est une bête de route, brute et indomptable, l’autre une machine de guerre aérodynamique, conçue pour l’endurance. Sur des circuits rapides, la GT40 prenait le dessus par sa stabilité et sa tenue de route. Mais en ligne droite ou sur des parcours courts, la Cobra, avec son rapport poids/puissance exceptionnel, pouvait donner du fil à retordre à n’importe quelle voiture.

La Cobra 427 et la GT40 ne sont pas seulement deux voitures de course mythiques. Elles sont le reflet d’une époque où la passion, l’orgueil et la créativité ont redéfini les limites de la performance. Deux visions, un même ADN : celui de la victoire à l’américaine.

Tableau technique mixte dessin/palette graphique
Illustration numérique réalisée au format 97 x 97 cm, disponible en impression fine art toile, papier …

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Jaguar MK1 berline sur la piste du rallye – art print tableau


Jaguar Mk1 Berline : Élégance, Innovation et Performances

La Jaguar Mk1, officiellement connue sous le nom de Jaguar 2.4 Litre et 3.4 Litre Saloon, est une berline sportive produite par le constructeur britannique Jaguar Cars entre 1955 et 1959. Elle représente une étape clé dans l’histoire de la marque, étant la première Jaguar à monocoque, ouvrant la voie à la génération des berlines sportives modernes, alliant luxe, technologie et performance.


Technologie et Design

Lorsque la Mk1 fut lancée, elle se démarqua immédiatement par sa carrosserie monocoque, une innovation majeure pour Jaguar. Cette construction sans châssis séparé permettait une réduction de poids et une meilleure rigidité structurelle. Le design signé William Lyons, fondateur de Jaguar, alliait lignes courbes et proportions équilibrées, avec des touches chromées caractéristiques des berlines britanniques de l’époque.

Le confort intérieur n’était pas en reste : bois verni, cuir pleine fleur, instrumentation Smiths et finition artisanale rappelaient l’ADN de luxe propre à Jaguar.


Mécanique et Performances

Sous le capot, la Mk1 fut d’abord équipée du célèbre moteur Jaguar XK 2.4 litres, un six cylindres en ligne à double arbre à cames en tête, développant environ 112 ch. En 1957, Jaguar introduit une version plus puissante : la Mk1 3.4 Litre, avec un moteur dérivé de celui utilisé dans la légendaire XK120, offrant 210 ch, ce qui transforma la berline en une véritable voiture de sport à quatre portes.

La transmission était manuelle à 4 vitesses, avec overdrive en option, et plus tard, une boîte automatique Borg-Warner pouvait être choisie. Le système de freinage était à tambours à l’avant et à l’arrière, bien que certaines versions 3.4 reçurent des freins à disque en compétition.

La Mk1 possédait une suspension avant indépendante avec des ressorts hélicoïdaux, et un essieu arrière rigide suspendu par des lames. Bien que moins sophistiquée que les suspensions postérieures de la Mk2, cette configuration permettait déjà une tenue de route supérieure à celle de nombreuses concurrentes contemporaines.


Les Pilotes et la Compétition

Malgré son apparence de berline sage, la Jaguar Mk1 a surpris le monde du sport automobile grâce à ses performances. Elle fut rapidement engagée dans diverses compétitions, en particulier dans les courses de tourisme et de côte. La version 3.4, en particulier, brilla sur les circuits.

Le plus célèbre des pilotes de Mk1 fut Mike Hawthorn, champion du monde de F1 en 1958. Il pilotait une Mk1 3.4 Litre modifiée pour un usage routier, mais aussi parfois pour des compétitions non officielles. Sa mort tragique en 1959 sur une route anglaise au volant de sa Mk1 contribua paradoxalement à renforcer l’aura de la voiture.

Un autre nom emblématique est celui de Tommy Sopwith, pilote et héritier de la société Sopwith Aviation. À la tête de l’écurie Equipe Endeavour, il engagea plusieurs Jaguar Mk1 3.4 dans des épreuves de tourisme, notamment dans le British Saloon Car Championship (BSCC).


Les Victoires et l’Héritage

La Jaguar Mk1 remporta plusieurs victoires notables dans les années 1950. Elle s’imposa notamment dans des courses comme Tourist Trophy ou Goodwood, battant des voitures pourtant plus légères et dédiées à la course. Sa supériorité venait de son moteur puissant, de sa robustesse et de son équilibre châssis-moteur.

Ces succès servirent de tremplin à la Jaguar Mk2, qui perfectionna le concept en devenant une véritable icône des années 1960. Mais c’est bien la Mk1 qui ouvrit la voie aux berlines sportives de luxe, une formule que Jaguar n’a cessé d’affiner depuis.


En résumé

La Jaguar Mk1 incarne une époque charnière de l’automobile britannique. Elle marie le raffinement classique à des innovations techniques audacieuses. Dans l’histoire de Jaguar, elle reste un symbole de transition : entre le passé artisanal et l’avenir industriel, entre l’élégance feutrée et la rage de vaincre sur piste. Grâce à ses performances, ses pilotes légendaires et ses lignes intemporelles, elle demeure une pièce majeure du patrimoine automobile mondial.

Illustration mixte dessin/palette graphique 86 x 97 cm

Philippe Lepape

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Alfa Romeo Giulietta Sprint Zagato Coda Tonda 1962 – illustration tableau


Alfa Romeo Giulietta Sprint Zagato Coda Tonda 1962

L’Alfa Romeo Giulietta Sprint Zagato Coda Tonda (SZ) de 1962 incarne l’essence de l’ingénierie italienne des années 1960. Cette voiture de sport légère, élégante et performante, a marqué son époque grâce à ses technologies innovantes, son design distinctif et son succès en compétition. Voici un aperçu détaillé de son histoire, de sa mécanique, de ses pilotes et de ses victoires.


Technologie et Design

La Giulietta Sprint Zagato SZ est née d’une collaboration entre Alfa Romeo et le célèbre carrossier Zagato. Ce modèle “Coda Tonda” (queue ronde) est une évolution de la version précédente, la “Coda Tronca” (queue tronquée). La Coda Tonda se distingue par une carrosserie plus arrondie et aérodynamique, optimisée pour réduire la traînée et améliorer la vitesse de pointe. Le design a été épuré pour maximiser les performances en course tout en conservant une esthétique unique.

  • Carrosserie en aluminium : L’utilisation de l’aluminium pour la carrosserie a permis de réduire considérablement le poids de la voiture, la rendant incroyablement légère avec un poids total avoisinant les 850 kg.
  • Aérodynamisme avancé : La forme de la Coda Tonda a été affinée grâce à des études aérodynamiques. Ces améliorations ont permis une meilleure stabilité à haute vitesse.
  • Châssis tubulaire : Basée sur la Giulietta Sprint de série, l’Alfa Romeo SZ a reçu un châssis renforcé et raccourci pour améliorer l’agilité et la maniabilité.

Mécanique et Performances

Sous le capot, la Giulietta SZ Coda Tonda était équipée d’un moteur quatre cylindres en ligne de 1290 cm³, un bijou d’ingénierie pour son époque. Ce moteur, dérivé de la Giulietta Sprint Veloce, a été modifié pour offrir plus de puissance et de performances.

  • Moteur : Le bloc en aluminium était équipé d’une double came en tête (double arbre à cames), une technologie avancée pour les années 1960. Il développait environ 100 chevaux à 6500 tr/min, ce qui était impressionnant pour un moteur aussi compact.
  • Transmission : La voiture utilisait une boîte manuelle à 5 rapports, permettant des changements de vitesse rapides et précis.
  • Suspension et Freins : La suspension indépendante à l’avant et l’essieu rigide à l’arrière, combinés à des freins à tambour performants, offraient une tenue de route exceptionnelle et une excellente réponse en virage.
  • Vitesse maximale : Grâce à son faible poids et à son aérodynamisme, la Giulietta SZ pouvait atteindre une vitesse de pointe de 200 km/h, ce qui en faisait une voiture redoutable dans les compétitions de l’époque.

Pilotes et Succès en Compétition

La Giulietta SZ Coda Tonda a été conçue principalement pour la course, et elle a rapidement trouvé sa place dans les compétitions internationales. Elle était particulièrement prisée par les pilotes privés et les petites écuries grâce à son équilibre entre performances, fiabilité et coûts relativement abordables.

  • Pilotes notables :
    • Roberto Bussinello : Ce pilote italien a contribué à la renommée de l’Alfa Romeo SZ en remportant plusieurs courses en catégorie GT.
    • Andrea de Adamich : Un autre pilote talentueux qui a exploité les capacités de la SZ dans des compétitions de haut niveau.
    • De nombreux pilotes amateurs ont également utilisé la SZ dans des compétitions locales et nationales.
  • Compétitions majeures :
    • Targa Florio : La Giulietta SZ a brillé dans cette course emblématique, grâce à son agilité dans les routes sinueuses de la Sicile.
    • Mille Miglia : Bien que cette course mythique ait été dominée par des voitures plus puissantes, la SZ a souvent performé dans les classes inférieures.
    • 24 Heures du Mans (catégorie GT) : La SZ a été engagée dans cette course d’endurance légendaire, prouvant sa fiabilité et sa résistance.
  • Succès en championnat : L’Alfa Romeo SZ a largement contribué aux victoires d’Alfa Romeo dans les catégories GT des championnats européens des années 1960.

L’Héritage de la Giulietta SZ

L’Alfa Romeo Giulietta Sprint Zagato Coda Tonda reste aujourd’hui une icône parmi les voitures de sport classiques. Son design intemporel, ses performances impressionnantes et son histoire dans le monde de la compétition en font une pièce de collection très recherchée. Les passionnés de voitures classiques considèrent la SZ comme un exemple parfait de la philosophie d’Alfa Romeo : “La beauté rencontre la performance”.En 2025, elle continue d’inspirer les amateurs d’automobiles et d’attirer l’attention lors de concours d’élégance et d’expositions. Avec seulement quelques centaines d’exemplaires produits, la Giulietta SZ est un véritable trésor de l’histoire automobile italienne.

Illustration mixte dessin/palette graphique 86 x 97 cm

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Ferrari 555 “Super Squalo” ‘1955–56 revisitée – art print tableau


Ferrari 555 F1 « Super Squalo » : L’évolution du squale rouge

La Ferrari 555 F1, surnommée « Super Squalo » (Super Requin), représente une transition cruciale dans l’histoire de la Scuderia Ferrari durant les années 1950. Conçue pour succéder à la 553 F1 dite « Squalo », cette monoplace fut l’aboutissement d’une recherche constante de performance, de maniabilité et de fiabilité dans un contexte de profonde mutation technique en Formule 1.

Une évolution technique ambitieuse

Apparue en 1955, la Ferrari 555 F1 repose sur les enseignements de sa devancière mais s’en distingue par de nombreuses améliorations techniques. Le châssis, un cadre tubulaire plus rigide et abaissé, offrait un meilleur comportement en courbe. La carrosserie affinée et plus basse, œuvre de Carrozzeria Scaglietti, lui donnait une allure plus fluide, tout en optimisant l’aérodynamisme – d’où son surnom « Super Squalo ».

Côté moteur, elle était équipée d’un bloc quatre cylindres en ligne de 2,5 litres – héritage du moteur conçu par Aurelio Lampredi. Ce moteur développait environ 260 chevaux à plus de 7 000 tours par minute, avec une courbe de puissance très linéaire. Il se distinguait par sa simplicité mécanique, sa robustesse, et sa capacité à encaisser de longs efforts, notamment sur les circuits rapides.

La boîte de vitesses à 5 rapports, montée transversalement à l’arrière, contribuait à une meilleure répartition des masses. Le système de suspension avant était à roues indépendantes avec double triangulation, tandis que l’arrière utilisait un pont de Dion, ce qui assurait une meilleure motricité. Les freins à tambours étaient encore de rigueur, bien qu’en voie d’être supplantés par les freins à disque.

Les pilotes de la Super Squalo

La Ferrari 555 fut confiée à plusieurs pilotes de renom, dont certains marquèrent l’histoire du sport automobile. Le principal fut Eugenio Castellotti, jeune espoir italien, dont la fougue et le talent étaient très appréciés par Enzo Ferrari. Il pilota la 555 dès 1955 et obtint plusieurs résultats prometteurs, malgré une rude concurrence venue notamment de Mercedes-Benz et Maserati.

D’autres pilotes notables au volant de la 555 incluent Umberto Maglioli, Mike Hawthorn et Maurice Trintignant, chacun ayant contribué au développement de la voiture en compétition. Hawthorn, futur champion du monde en 1958, fut impressionné par la tenue de route du modèle, bien qu’il reconnaissait ses limites face à la supériorité technologique croissante de ses rivales.

Résultats et victoires

Sur le plan des résultats, la Ferrari 555 F1 ne connut pas un palmarès aussi prestigieux que certaines de ses devancières ou successeures. Cependant, elle permit à Ferrari de rester compétitive dans une période de transition. Elle disputa des Grands Prix du Championnat du monde entre 1955 et 1956, dans un contexte difficile marqué par la domination des Mercedes W196.

Son meilleur résultat en championnat fut une troisième place obtenue par Eugenio Castellotti au Grand Prix de Monaco 1955 – une course difficile, où la maniabilité de la 555 fit la différence dans les rues étroites de la principauté. Elle remporta également plusieurs courses hors championnat, notamment des épreuves locales et internationales où la concurrence était moins féroce.

Malgré l’absence de victoire en championnat du monde, la Super Squalo joua un rôle important dans la transition technique de Ferrari vers les moteurs V6 et V8, amorcée avec la venue du jeune ingénieur Carlo Chiti à la fin des années 1950. Elle servit aussi de base à plusieurs évolutions techniques testées dans des courses secondaires, comme l’introduction progressive des freins à disque et de la suspension à double triangulation complète.

Héritage

Aujourd’hui, la Ferrari 555 Super Squalo est une pièce de collection très prisée. Elle symbolise une époque de la F1 où la mécanique, l’audace et le talent des pilotes étaient les seuls remparts face à l’adversité. Elle incarne aussi la volonté de Ferrari de toujours aller de l’avant, même dans les périodes de remise en question.

Le « Super Squalo » n’a peut-être pas régné sur les circuits, mais il reste une bête fascinante, témoin d’une époque où le rugissement des moteurs et la virtuosité des hommes s’unissaient pour écrire la légende.

Commandez dès maintenant votre impression et laissez-vous emporter par la magie de la Ferrari 555 “Super Squalo” ‘1955–56 revisitée improbable !

Tableau technique mixte dessin/palette graphique
Illustration numérique réalisée au format 80 x 116 cm, disponible en impression fine art toile, papier …

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Prestige et Collection : musée vivant de l’auto à Jallais (49)

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Le musée de l’auto Prestige et Collection, situé à Jallais, entre Angers et Cholet dans le Maine-et-Loire, est un véritable sanctuaire pour les passionnés d’automobiles. Ce musée vivant abrite une collection privée de plus de 100 véhicules et motos rares, atypiques et sportifs, offrant aux visiteurs une immersion dans l’histoire de l’automobile. Prestige & Collection+1Prestige & Collection+1Maville Angers+3En Pays de la Loire+3Ôsez Mauges – Au fil de l’Ô+3

Parmi les joyaux exposés, on retrouve des modèles emblématiques tels que la Jaguar Type E, la Ferrari 308 GTS popularisée par la série “Magnum”, ou encore la célèbre DeLorean DMC-12 de “Retour vers le futur”. La collection s’étend des voitures populaires comme la 2CV aux supercars prestigieuses telles que la Lamborghini Murciélago, en passant par des limousines et des motos d’exception. Prestige & CollectionÔsez Mauges – Au fil de l’Ô

Ce qui distingue Prestige et Collection, c’est la possibilité offerte aux visiteurs de ne pas seulement admirer ces véhicules, mais aussi de les approcher de près, d’ouvrir leur capot, de s’installer au volant, voire de les conduire sur réservation. Cette expérience immersive permet de vivre le rêve automobile en devenant, le temps d’une visite, acteur de l’histoire mécanique. En Pays de la LoireFacebook

Le musée est niché dans un écrin de verdure de 10 hectares, offrant un cadre paisible et propice à la découverte. Il est ouvert toute l’année, avec un tarif d’entrée de 25 € pour les adultes. Ôsez Mauges – Au fil de l’Ô+1En Pays de la Loire+1

Prestige et Collection ne se contente pas d’exposer des véhicules ; il propose une véritable plongée dans l’univers automobile, mêlant nostalgie, émotion et plaisir de conduite. C’est une destination incontournable pour les amateurs d’automobiles, les curieux et tous ceux qui souhaitent vivre une expérience unique au cœur de la région Pays de la Loire.

Pour plus d’informations ou pour planifier votre visite, vous pouvez consulter leur site officiel : Prestige & Collection

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